e~mage

Est-il possible pour un peintre d'arrêter de peindre ?
Un sculpteur d'arrêter de sculpter ?
Un photographe cesser de saisir ?
Comme un XIII de son vivant
Une date précise où le bonhomme déciderait d'une fin.
Mais laquelle et pourquoi ?
J'aime pas les mais.

Parce que cela fait longtemps que j'ai remis l'image à sa place
Sa juste place
Celle qu'elle avait quittée pour venir jusqu'à hier
Et devenir ce simple point .
Ce petit pixel

Ce n'était plus qu'une question de Temps
Pour savoir
A qui l'offrir
Sans oublier personne

Ca me fait penser à cette histoire où le mec Belmondo se fait un collier de dynamite en déclamant des vers comme un pinpin de 1ère, allume la mèche, pour souffler dessus comme un illuminé quelques secondes après en disant : "Quel con ! Mais quel con !!!"

Un ti pix ?

Comment veux-tu m'entendre si chaque fois que je parle
Tu ne m'entends que dans les mots des livres ou des films
Seuls rebonds permis pour mon existence à tes côtés

Comment peux-tu me répondre si chaque fois que tu parles
Tu ne sais que redire les mots du veau d'or de ta mémoire
Seules échappées permises à ton existence en scénaris

Où je suis sensé pouvoir poser les pieds

Ce mas à bits que tu habites
Y crois-tu vraiment possible mon infini ?
S'y trouve-t-il ne serait-ce qu'un seul
Grain de pixel dédié infiniment à l'autre ?
Alors que tu n'en as même pas un à toi
Pour aller te reposer
Tu crois tout savoir et moi avec
Je suis pas aveugle

Regarde, je t'en pose un.

Alors ce sont parfois des monstres quand tu approches la Nuit
Qui viennent te saluer
Les chiens de garde
En fait, je crois qu'il n'y en a qu'un
En capacité d'ubiquité
C'est toujours le même avec des formes différentes
Il n'a un nom que quand tu l'appelles
Nosferatus, le Diable, Kukus, Lucifer; je te laisse faire
Ton imagination est débordante d'idées quand tu es avec
Il peut remplir ton monde, petit à petit.
Il a tout son temps.
Ca peut partir d'un rien, d'un détail, d'un grain de sable
Et doucement ton ciel s'est refermé sur toi d'y avoir cru

Aussi bien tu ne marches plus que sur des certitudes au savoir d'inutile
Et chaque pas n'est que fatigue à l'arrachement d'un impossible passé
Aussi bien c'est une glace froide qui se casse à chaque appuis de tes mains pour ne pas couler
Dans ces eaux visqueuses où gisent d'encore plus étranges créatures comme cet air en devenir, qui s'y transforme comme dans un bocal sans parois en vue où la seule chose que tu sais encore et qui t'inonde,
C'est que ce sera pire si tu ne bouges pas.
Aussi bien ce sont des griffes te choppant les hanches, poussant pénétrant dans tes entrailles
Si froides que tu ne sais même plus comment elles palpitent tes organes et où chaque idée devient vraie.
Tout, tout autour est immobile et noir sans fond infiniment absent
Tandis que tu sens en face de toi ces yeux maudits devenus parties de toi et s'en occupant à 100% dans cet univers total,
parce qu'Il te connait au moins autant que toi

J'oublie pas mais y a des trucs plus sympas.
M'enfin, je vais pas me mettre à faire du Jérôme Bosch parce que j'ai eut envie de soupirer un coup.
Où qu'on irait dès lors ?
Ben tiens .
C'est gratos :)))
Corps de bic !
Piouuuu .
Piouuuu ..
Piouuuu ...
e~paaaaas .....
J'ai les mains pleines ........
Chica Chic aï aie y !
.
:)

Un point n'oeuf sans début ni fin

Fais-en bon usage
La prochaine fois que tu le poses
Puisse-t-il te libérer
Ton chemin
Te donner la Paix

Je sais bien que tu L'aimes

~y !

http://www.ipernity.com/doc/sculpix/2170116/in/album/66866

sLv

J'oublie des fois de le dire.
Si Dieu Le veut, Incha Allah, si L'Eternel Le veut, s'Il Le veut...
Dis bien comme tu veux
sLv pour ne pas Le nommer

Parce que Lui, tu peux être sûr qu'Il te pardonnera à ton profond repentir.
Les hommes, c'est moins sûr :)))
Ils ne te connaissent pas.
Parce que tu sais pas demain.
Que tu peux te péter une veine dans la seconde qui suit et que tu vas te retrouver rond de flan avec des promesses, pour toi ou pour d'autres, que tu n'auras pas pu ou su tenir.
Tu connais l'éternité ?
C'est ici et maintenant si tu veux.
Tu te connais ? T'es pas croyant ?
Excuse-moi de t'avoir appelé Dieu :)))
Parce que tu n'en auras peut-être plus envie, que tu ne pourras peut-être pas les réaliser pour mille raisons que tu ne connais pas encore.
Sabrer sa parole, c'est se sabrer soi-même.
Parce que dire quelque chose, c'est te mettre une chaine où tu n'auras pas forcement le coeur à l'ouvrage et qui peut être lourde, lourde, lourde...
Tu vas peut-être même la détester ou la suivre pour d'autres raisons.
L'oublier, la négliger, chemin pris pour d'autres négligences
Jusqu'à ce que plus aucun mot de ta bouche n'ait de sens.
Parce que quand tu dis, je veux te croire.
Et quand je vois que tu te sabres, j'ai mal.

Ne me dis pas que tu m'aimes
Chante pour d'autres, cela me comble :)

~y !

Chemins d'encres

Impression numérique en loupe dilution dans un vase d'eau.

Cliché : résultat au bout d'une semaine

Tain ! Je l'ai cassé avant d'avoir pu le graver celui-là :)))
C'était pourtant du lourd. Il a pas supporté une mise à chaud :)))
A part ce genre de trucs + mille autres,
je pense être un bon compagnon

Pour tester l'accroche des bulles à l'intérieur
Alors que la gravure aurait tendance à disparaitre

Champagne !

Oui,
c'est vrai,
des fois, j'en fais peut-être un peu trop
M'enfin, avec une belle paille en Y, ça ira aussi :)

Exceptionnellement, of course
"en bas de page à remonter doucement"
Maintenant, c'est 18 notes / page.

hO !

Tu dors ?
- Ben non, pourquoi tu dis ça ?
Parce que ça fait exactement 27 minutes que tu tiens ton mazagran à exactement 18 cm de la table, devant une page blanche A4 et un stylo à la main.
- Et alors ?
Ca gênerait mon égo si tu battais mon propre record sous mes yeux.
- Je m'en fous de ton pseudo ego. Je jouais pas.
Ca me permet quand même de te dire que je viens de réaliser le premier recorde du mec qui sans rien faire debout et sans bouger, regarde un autre assis ne rien faire sans bouger.
Une sorte de photographie spatiale très grise contrastée, un truc éphémère comme une oeuvre d'art crue éternelle, que personne ne verra jamais, et que tout le monde pourrait reconnaitre typo Rainbow Panzani.
-Pfuii! C'est pas rien.
- Heuuu, je peux la raconter celle là ?
Oui, si t'oses l'endo, c'est cool. J'en ai plein les poches des comme ça. C'est mieux pour voyager léger, parce que tu sais, par les temps qui courent...
- Kiss
Whif !



Banzaï !
:)))
Heuuu, ~y !



Tu disais A quoi quoi déjà ?
De si bon Petit Chemin

Mel carte

"Aquaréelle"


Laisse moi une seconde
S'il te plait
Que je reprenne mon corps
Que j'ouvre les yeux
Laisse moi vibrer au sein de tes mots
Je les entends si bien
N'ai besoin de rien
Si tu veux
Je peux être un rêve regarde ce moi
Je serai cet homme au bord du chemin
Les bras ouverts à ton sourire étonné
A ton coeur ouvrant enfin ses voiles.
Nous serions couverts d'incroyables lenteurs
Extérieurs pulvérisés.
Vainement nos bras guident nos mains
Vers l'indécis contact de cette multitude
Accélérée de nos pas d'un désir sans fin.
Sans savoir pourquoi
Ce sont finalement nos doigts qui se croisent
Douces pressions aux creux des paumes
Oui
..Oui
...Oui
Et notre regard en approche qui embrasse le Monde

Redevenant deux
Nous parcourrions ces espaces aux milles histoires
Résonantes confidences de nos pas aimants
Et traversés d'aucune pleine impatience
Au chant de ton Royaume

Voila.

J'ouvre les yeux
L'aquarelle se dilue doucement
Un ange me caresse deux trois cheveux
Sur cette page toujours blanche
De n'avoir pas en corps
Su exister

Appel

Les cris se font aigus à l'approche du vide
L'ego se griffe aux dernières branches
Il cherche en lui ses dernières cartes
Toute l'énergie du désespoir
Aux fils de soi
Dieu, diable, cochon, folie, raison
Tout y passe tourne tourne et danse !
Tu n'es pas rien et l'espace infini t'effraye

Quand tu te seras reposée dans cette ampleur de Toi
Que tu verras ton limon, paillette à tes pieds
Danser aux notes claires de ton Temps
Tu sauras que je ne t'ai pas quitté
Ta vie au tam-tam de mon coeur

Parce que si je posais ton pied en cet endroit
Ce ne serait pas ton pas

Je m'appelle parfois Mehdi
Je ne crois en aucun hasard

C'est long,non une vie sans homme...

Dessin : Soleildebrousse

Blog/théâtre

http://desest.blogspot.com


Acteurs / Auteurs

• Soleildebrousse
• 
  
• Derviche typo matamore II

Toupies carton

Noël approche à grand renforts de lumières
De symboles ampoulés à crever la nuit
A chauffer les coeurs

Nous allons de nouveau assister à la ruée vers l'or
Des cadeaux à fixer le prix de l'amour

Si ton enfant est grand tu vas lui filer un beau billet
Tu sais plus quoi acheter il a tout depuis si longtemps
S'il est petit une voiture
Sais-tu qu'il n'aura le droit de conduire qu'à dix-huit ans ?
Que ce rêve il ne pourra sans doute pas le vivre parce que tu auras bouffé tout son pétrole ?
Que ce chemin que tu lui donnes est vain ?
Que tu lui apprends juste par exemple
A brouter en niant l'autre
L'intérêt de l'instant
Toi? Devenir vieux? Continue à mettre ton fric de côté, tu ne seras plus qu'un corps lourd à ses yeux, en fin des changes
Un fusil alors
Tu parles de paix pourtant
Et tu lui apprends à tuer avant de savoir parler
Rêvant qu'il ait un prix Nobel avant d'être heureux
Tu me baragouinerais aussi bien que la violence est génétique

Je me souviens du jour où pour la première fois
Une femme se suicida
Rompant l'Alliance Sacrée
Chargée de bombes au milieu des hommes
Pourquoi les avait-elle écoutés ?

Résumé

Bon.
Vous avez compris que cette cathédrale de porcelaine et de fibres optiques n'est qu'une image. Le temple d'O est déjà là, chez vous.
Votre fenêtre, votre miroir,
Votre petite pierre dans l'édifice.

Dis, tu apprendras un jour à t'en servir, du cadeau Bonux ?

Quoi !!! Tu l'as toujours pas trouvé depuis tout ce temps que tu as les mains dans la lessive !!!
:)))
Relis Platon !!!
:)))

Bon. Je sais que c'est pas facile.

Combien sommes-nous ?
Qui tient, qui lâche ?

La nuit résonne de nos pas en partance.
Ecoute-moi te parler, je suis partie de rien
Quelle peur dans cette Nuit en partage ?
Poussière, je n'entends que ton coeur


(
Les questions de Coloranz

1)) Qui êtes-vous ?

Je suis rien. Juste une présence gravée par quelques poussières sur internet, nouvelle forme de ce que les Anciens appelaient le veau d'or. Les vérités qui s'y gravent réduisent l'être à quelques mots ou images, engendrent guerres et destructions, nous aveuglent dans la pire période d'obscurantisme que l'Histoire ait connue.

2)) Quelle est l'idée cachée dans votre image ?

Une peinture, c'est une photographie de l'âme à un instant "t". Mon chemin artistique fut de libérer main et regard, ce qui implique de libérer son esprit en amont. L'idée de cacher quelque chose m'est absurde. Dans un monde aliéné par les mots et les images, je cherche à redonner à l'autre sa responsabilité devant ses choix, l'acceptation de son ignorance profonde, cette grandeur commune et infinie, lieu de paix, d'égalité et de liberté.

3)) Avez-vous un message pour les wizzzeurs ?

Nos sociétés démocratiques et hégémoniques sont dans une marche auto-destructrice. L'humanité n'a qu'un lieu d'asile et c'est la terre. Tout le monde s'en fout et c'est toujours l'intérêt personnel à court terme qui prévaut, engendre des lendemains de sang. Il faut absolument retrouver des regards humains et agissants. Colombe de Paix, faire voter les enfants dès 5 ans me semble la solution la plus pertinente pour changer les choses, cesser de tout avaler comme des bourrins écervelés, reprendre doucement le chemin du Don, le chemin vers l'Autre. Merci de m'épargner vos arguments d'ânes, ce sont peu ou prou les mêmes que ceux qui, en leur temps, s'opposaient au vote des femmes. Pense bien ce que tu veux.


Les mots de M. Wizzz :
"Représentation de ce qui est encore invisible ou inconnu."
)

Bon.
Après un petit aperçu sur le terrain de la discussion non virtuelle, force est de constater qu'il est sans doute plus simple pour l'instant de transformer un caillou en bulle d'air.
Pourtant, quand je dis que si l'on donne à des enfants de 11, 12 ans, le droit d'aller en prison... Oui, je sais, on appelle ça des maisons de correction, avec interdiction de sortir et des barreaux aux fenêtres, explique moi bien la différence si tu veux. Donc si on les prive de cette liberté là, qu'on les juge suffisamment responsables pour les enfermer, alors je crois que le minimum de respect serait de leur donner le droit de vote à ce même âge.
Ceux que j'ai rencontré sont d'accord avec ça.
Le problème, c'est que le regard ne changera toujours pas puisque c'est la même logique qui prévaut et ce n'est que raisonnable dans le sens que tu aimes bien et qui bouge à environ 0,5 km/an parce que tu te prends pour une lumière :)))
On va dire que j'ai tout mon temps pour aller à Paris.
Si c'est pas moi, ce sera un autre, sLv
Je voyage léger, léger, léger...
Comme le Fernand
Comme un palapalala typo Tubular Bells
Einziger zug
"Ca sonne fort dans le Bosphore"

Et toi, ça va ?
:)



Moi, je n'ai plus beaucoup de temps pour ici.
Tu vois bien.

Bibliothèques

Images du passé. Image d'un passé révolu dont le deuil devra se faire.
Tu vas oser des peaux.
En faire lucide.
Le Temps imprime déjà l'abandon de tes vanités, l'orgueil d'un savoir comme d'une marche écrasant l'autre,
comme tu aimes tes chaines
Prométhée pathétique, regarde comme je te libère !
Mange ta pomme.
Graines en creux de main.

Ecriture

La musique me porte.
Elle me prend la main comme un enfant
Danse joyeuse d'un temps à l'autre
Où doucement j'oublie qui je suis et crois aller

Je deviens cet air je deviens ce sentiment
Je suis ses formes que le fa sonne
Pour un little tour pas là pas là là
Aux artifices de l'arc-en-ciel

J'y ai vu tes yeux ta bouche
J'y ai vu ton corps autant de courbes
J'en effleurai ton ventre les yeux fermés

Les notes s'éloignent doucement
je n'ose pas bouger
Ma tête reposée

Deux aimants
Nord nord
Nord sud
Sud sud
Accord des On
Nos axes enchantés

Ecoute

Je voulais titrer "Sans mot"
Je pourrais dire "Silence"

Tu quittes mes yeux
Pour un chemin que je ne verrai pas
Que tu ne me présentes pas
Ces temps de bas, ces temps de hauts
Légères poussières
Au tam-tam de nos coeurs

Que feras-tu, qui aimeras-tu ?
Je reste sans tourment
Ca dépend de ce que je prends
Je te sais mille fois plus
Que toutes ces images
Ces quelques mots
Gravures de notre passage.
Elles serviront encore sLv
Rencontres dans la nuit en partage
Echo profond
Que plus rien ne peut défaire

Pas tiré par les cheveux
Un pépin de pomme
C'est encore une graine

Maudite soit la guerre

Photo : Christiane Athenoux
http://www.ipernity.com/home/33947

Je crois qu'il y a aussi des pommes dans son petit sac :)))




Si tu as aussi une vraie solution d'amont
Allant comme une source
Une graine à l'arbre sain
je suis sûrement preneur :)

Ca a déjà commencé.
Par toi.
Tu es sans maître
Pas même de toi

Sens-tu ce Temps du repos
Cette Paix ?

Tu vois bien ton chemin
L'Amour y déposa mille fleurs

Bancs de poissons, nuages d'oiseaux

Leurs vols se passent de maîtres

Banc de poissons, nuage d'oiseaux

Disséminés ou promptement regroupés

Petits poissons petits oiseaux

IlL savent si bien

l'alliance de leurs libertés

La chute d'un mur, l'essor des utopies

Voici vingt ans, tombait le mur de Berlin. Tous nos journaux bruissent de cette commémoration, qui nous rappelle fort opportunément que rien de ce que tout le monde décide ardemment n'est possible sans une décision prise au plus haut niveau. Vous souvenez-vous du sentiment d'incrédulité qui nous a tous habité ce 9 novembre 1989? Et du sentiment de liberté inouïe qui l'a immédiatement suivi ? La plupart d'entre nous n'étaient pas directement concernés par la chute du mur de Berlin; mais tous, nous avons compris autant que ressenti que ce jour-là, nous appartenions à l'histoire en marche.

Ce "grand soir" qui remet toutes les utopies en compétition, n'est pas encore arrivé pour l'éducation. Nous n'osons même plus imaginer le moment où un ministre particulèrement inspiré, ou même le directeur de l'Unesco, interviendrait en direct à la télévision avec ces quelques mots définitifs : "Ouvrez les écoles. Oubliez les livres. Jeunes et enseignants, allez vous frotter au monde et revenez quand vous en saurez un peu plus. Alors, vous aurez des trésors à partager".

Naïveté, irréalisme, voire même bêtise, peut-être. Pourtant, il fut un temps où, l'école n'étant pas encore prise dans le carcan de fer qui l'enserre aujourd'hui, il était possible de penser l'éducation autrement. Il fut des époques où, les disciplines n'étant pas encore vitrifiées par l'excès de vernis universitaire, les changements de cap, les croisements et les heureuses rencontres entre savants humanistes étaient possibles. Comenius et Grundtvig nous rappellent, à chaque fois que nous croisons les programmes européens pour l'éducation et la formation tout au long de la vie, que rien n'est écrit pour l'éternité, en matière de pédagogie, mais aussi que le temps du progrès dans ce domaine se mesure... en siècles.

Aujourd'hui comme autrefois, des esprits hardis se lancent dans l'aventure. Vous découvrirez comment, autour de nous, des enseignants maliens, espagnols, tunisiens... s'approprient les technologies de communication et d'apprentissage. Comment les jeunes gens aux cheveux taillés en crête et aux oreilles percées ont secrété une contre-culture diablement intéressante, celle du "do it yourself" qui détourne systématiquement les objets de leurs fonctions premières.

Tout cela est bien entendu accessible sur le web, notre nouveau magasin des informations et des connaissances. Un magasin dans lequel on peut encore s'arrêter, deviser avec les amis de passage, essayer les produits et les remettre à leur place, ou alors les emporter chez soi. Dans ce magasin-là, tout ce qui est rare n'est pas nécessairement cher. Et si certains tentent encore de nous vendre de veilles lunes, en cherchant bien vous y dénicherez sans doute de petits fragments de béton coloré qui vous rappelleront qu'un jour, quelqu'un a dit "ca suffit" et que toute l'Europe s'est mise à respirer.

Bonnes découvertes,

Christine Vaufrey, Rédactrice en chef
http://www.cursus.edu/


Pinpin fait le Guignol dans son cadre
Il dit : "Enfermez le !"

Ben voyons


Terrain de foot by night - Bussac Forêt

http://smallpaths3.blogspot.com
"Outor"

Des corps dormants

Ce sont les mêmes combats
Ce sont les mêmes cris que tu viens pousser ici
Ceux-là même que tu n'oses pas dans ta vie
Pour ces raisons qui t'appartiennent

Laissons là tes désirs de mesures où tu te crois vainqueur
Parce que tu ne hantes que ceux que tu crois dominer
Laissons là tes désirs d'artistes, d'écrivains, ou Dieu sait quoi
Parce que qu'il suffit de suivre le chemin de ta langue
Laissons là tes désirs d'un corps amoureux
Puisqu'ici n'est qu'un lieu de traces

Que viens-tu chercher si ce n'est l'Amour ?

Perdu dans tes voiles
Quand verras-tu jusqu'où j'ai percé les Cieux ?
Je te montre mon chemin
A chaque note
Où est le tien ?
N'y a-t-il vraiment là que vaines distractions ?

Ici ne sont que des traces
Des ombres d'une réalité réduite à sa plus simple expression
Son plus petit fragment
Quand bien même tu serais le plus grand des génies intelligents
Le veau d'or t'aveugle
Tu l'as laissé tout avaler
Même les Livres
Même ta Parole
Tu te réduits à lui, l'univers dans ce même sac de noeuds
Paillettes de rien, paillettes de vent
Tu construis des équilibres instables où tu te crois être
Tu marchemalebroutes en qu'est quête d'un vin graal oublié
Multipliant des béquilles de pacotilles
Que j'ébranle d'un battement de cil, si je veux, sLv,
Et toujours tu m'exposes ta violence par mille formes
Qu'elle soit de haine, de dénigrement, de pitié, d'indifférence feinte puis effective
Une étiquette typo prix
Et c'est toi que tu nommes
Que tu élabores ici encore
Sabrant l'ouvert des chemins de Paix

Tu me donnes des formes imaginées
En ces lieux de doutes torpillant l'être
Tu sautes cul de jatte d'image par image
Poursuivégarant ton leurre et louant les magies
D'une machine technologique utilisée
Par un inconnu trop grand pour être vu
Que tu te permets d'écraser du bout du doigt
Misérable insecte
Ou que tu ranges par nasses entières sans aucun ajout de valeur
Idem un vulgaire trafiquant de guerres
Je connais un peu les échelles
J'y lis le Monde, sLv
Il y en a de très belles
Magnifiques
Il en existe dis mille autres ça ira ainsi

Que sais-tu de mes états d'âme ?
Mon coeur n'a de besoin
Que de Toi

Alors
Si par amour,
je te vois construire aux fils de tes désirs
Un corps au visage d'encre
Promis à des déconstructions douloureuses
Un monde d'illusion en chemin de déception
Que je le frappe et l'écroule
Parce que cela est possible
Ne jette donc pas avec les ruines
La Vérité qui le faisait naitre
Elle est toujours vraie
Que sais-tu
Pour le meilleur ou pour le pire
Que répètes-tu ? Où le fais-tu ?
Que cherches-tu à dire
A ton frère ?
A ta soeur ?

A ton égal

D'hier
D'aujourd'hui
De demain

~y !

Quand je pense que l'autre, là-bas, continue à vouloir me convaincre de son égo avec et dans sa petite cellule grise.
A parler que pour lui.
Quand je pense que l'autre, là-bas, continue à vouloir se convaincre qu'il sait ce qu'il a appris et que cela suffit. Que rien ne peut changer sinon ça se saurait. Unique raison.
A penser que pour lui.
Clafoutis
A faire avec.
Chemins de solitude
Ils sont dis mille ça ira ainsi
Quand je pense que l'autre, là-bas, se dit que les choses ne sont peut-être pas si figées que cela.
Qu'elles peuvent peut-être être ce que l'on veut qu'elles soient. Qu'il suffit peut-être juste de le savoir en son profond.
De commencer par soi.
De le vivre.
Et de profondeurs en profondeur
Découvrir l'évidence de n'être rien
Rien qu'un coeur aimant
Le Don en tout appui
Le partage
Vivre

Grâce à Toi, je pars tranquille.
Tout commence à chaque instant.
Si c'est pas moi, ce sera un autre,
sLv

Hugh !
:)

Goldorak ! GO !

Faut cliquer sur l'image pour la voir floue

Pour lancer une bonne pomme, c'est ni dur ni compliqué. Il suffit que ça vienne du coeur. Et que tu soies raisonnables :)))
C'est qu'il faut être sûr de son coup, sinon tu perds ton temps et c'est ballotes.
Pis ça risque de te revenir quand tu t'y attendras pas alors que tu étais en meilleure position pour lavoir venir puisque c'est toi qui l'a envoyée :)))
C'est pour cela que j'en balance très très très peu.
Tu n'es pas obligées de me croire.
Quand je voies tout ce que tu peux lancers en une seule journée, je me dis que tu es complètements fous.
Heuuu, je veux dire : pas très raisonnable.
Typo écheveau que tu sais plus où mettre le doigt.
Tu penses des miettes et tu te crois au-dessus de tout.
De tous.
Faut écouter Son Coeur.
N'importe quel Abruty sait ça.
Il est plus grand que toi alors tu Le vois pas.
Ouvre les yeux.
Il Te donne Hier, Maintenant, Demain.

P'tite Pompote va :)

Ferme bien ton nanorak.
Oui, je sais, on transpire un peu dedans quand c'est typo K-way.
Tant que t'es pas hydrocéphale, tu siffles pas alors c'est que t'es pas cui-cuite
Pas à point, quoi ?

Un p'tit kiss cool ?

Comme j'ai fait plein d'images ces 15 derniers jours, je suis très content de partir demain pour des vacances françaises, traversant Champagne et plongeant plein sud auprès de mes frères et soeurs pour une orgie de soleil, sLv, que j'en deviendrais presque insolant :)))

Je vous embrasse
:)

~y !


http://smallpaths3.blogspot.com
"Outor"

Mardi, 10 h 28

J'ai vu passer Little Turtle !
Je crois qu'il trimbalait encore quelque chose.
Ca pesait pas rien.
:)))
~y !

Fêtons la chute du mur de la honte

Ca tombe pile-poil, je savais plus quoi faire pour passer le temps.

Quoi faire pour rêver
A ces matins jamais vains

Il n'y a pas de hasard

Coût financier [modifier]

Selon Amos Yaron, directeur du Ministère de la Défense d'Israël : « Le mur, du point de vue de l'ingénierie, est le plus grand projet jamais réalisé en Israël. Chaque jour, plus de 500 engins mécaniques lourds déplacent d'un endroit à un autre des millions de mètres cube de terre. Chaque kilomètre coûte environ 10 millions de shekels, soit environ 2 millions d'euros le km. Donc, si le projet est de 500 km de long, on peut estimer son coût total à plus ou moins 5 milliards de shekels »^[2] (soit 1 milliard d'euros)^[3],[4].

Impact écologique [modifier]

(en cours)

Source :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Barri%C3%A8re_de_s%C3%A9paration_isra%C3%A9lienne

Flash d'information, supprimé prochainement de vos écrans, sLv

Veillez en Paix
Viendra un jour où vous saurez quoi faire
Sans hésitation aucune
sLv

A l'aise glaise

Je lui ai tout dit. Je lui ai dit que je l'aimais.

Je crois qu'elle a peur de moi
Qu'elle ne m'entend pas
Qu'elle ne me voit plus


De ma tour d'y voir s'élèvent mille formes
Que veux-tu apprendre de moi ?
A compter jusqu'à 3 ?
J'ai mille tours en poche sLv
Une seule conte


Une Amie disait souvent :
"Il faut décroiser son coeur"
Combien de fois cela m'a-t-il aidé de penser cela
Lors de ces orages magnétiques où se replient les voiles
Pour un en-soi grand comme Dieu ou l'infini
Déposant à ses pieds mille lignages en un seul point



Qui sortait de la boite ?
Cartoon paradise in Rikiki'land
Pourquoi croyaient-ils avoir mal
A l'envisage de tout futur
Aux graines de verts départs

Mille fois plus croyants que moi
Ils semblaient espérer quelques miracles informulés
Qui tomberaient là comme par hasard
Comme un dû pour des actes
Pour des prières
Qui n'eurent pourtant aucun lieu
Aucune façon

Un tel manque de rationalité
Me semblait le signe évident
Pathos logique
D'une étrange folie
Liée peinture aveugle
Le très court terme
Suçant aux murs
Un salpêtre champêtre



Ils avaient désappris à lâcher prise devant l'Amour
Considérant l'infini gros comme un pixel de leur vocabulaire
Bailleurs perplexes au diapason d'Or
Barrières en croix
Circule virgule
Ici
Là
Pas là pas là là
Ta cheville, que nenni
Sera pas du voyage

Philosophie, religion, art, archibazar, schtroumpfette pouet pouet burka et peau de Botox
Nom d'un slip en dur
C'est t'y pas beau comme un cul !

Ils faisaient des fleurs
Belles à damner des saints
Et puis
De puis en puits
Se laissaient manger par elles
En dis mille entonnoirs
D'où sortaient des cris de morts

Parmi toute cette agitation,
Little Turtle,

C'est parce que l'on nomme les humains quand ils naissent,
au pays des Indiens. Cela n'a évidement rien de définitif, peut donner rapidement : Little Turtle joyeuse au vent tourbillonnant. C'est juste un exemple, je sais pas demain.

sort la tête et découvre lentement la taille de sa cosmogonique carapace.
Qu'elle te soit légère et infinie.

Hugh !