28.10.06

Ainsi va l'évent aux vents

Elle me dit que j'essaye de convaincre de l'existence de Dieu.
Si cela arrive, je ne fais pas vraiment exprès, c'est juste que je ne fais pas trop d'effort pour ne pas Le montrer. Qu'ilL soit là ou pas ne change pas grand chose à ce que je dis. J'essaie plutôt de parler de la connaissance que l'on peut avoir de notre monde, de notre univers, celui qui nous entoure et que nous habitons.

Ce n'est pas de ma faute si des Paroles ont déjà été dites et qu'Elles sont vraies.

Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
C'est le veau d'or. C'est Moïse qui dit, le Salut sur Lui. C'est sûr, c'est pas tout neuf.
Rongo~rongo !
Dis toi que c'est Présentacteur tout 9 bz23 qui est revenu avec la tête de PPDA ou de Ben Laden
si c'est comme cela que tu préfères l'entendre.
Pour moi, c'est du pareil au même et ceux qui lient leurs existences à des images ou des mots sont complètement cinglés.
Egarés. Sans boussole interne. Ne trouvant même plus le lieu de leurs prières ou de leurs rêves

Parce que je fais pas vraiment dans la vidéo. J'espère que tu avais remarqué :)))
Parce que j'aime pas faire perdre de temps au gens. Les mettre en des situations où ils seraient ne serait-ce qu'une seconde dans l'incapacité d'être décideurs de leur Temps.

Parce que choisir c'est se priver.

Parce que dans la vie, il y a des pas au dessus du vide que l'on ne peut faire que dans la croyance qu'au dernier moment une dalle apparaitra à l'effleurement du pied, et que si c'est pas pour tout de suite, ce sera pour plus tard :)))
Je suis pas suicidaire moi.
Toujours je choisis l'Amour.

Tatataaaaa ! Klein donc ! Encore là ce lui là ?

Il n'y a rien qui ressemble plus à un dauphin qu'un piranha, un requin dirait-on sous d'autres tropiques.

C'est en traversant le rêve d'un vieil indien que j'ai appris cela.
Intimement, longtemps après.



Si je rencontrais Jonas, le Salut sur Lui, ce n'est certes pas à la baleine que je m'adresserai.
Ni à la voiture, pour dater dans l'Histoire notre obscure époque si prompte à éliminer toute distance et mille chemins.

Que crois-tu de ces images venues du bout de mon doigt, que je lisse au jour le jour
As-tu cru, lustucru, qu'il ait pu aimer le sang une seule seconde ?
Une seule goute
Qui ont, crois-tu, choisies de montrer ou de te cacher ?
Je sais bien que tu n'es pas que cela.
Que tu es infiniment plus.
C'est toi qui te croit pas.



Parce que là, l'homme à dents n'a rien appris depuis... pffuiiiiiiiii.
- Sans voix.
Sa dernière pomme ?
Eeeeeh un bon point pour le pinpin, un !
Tous les scientifiques se l'accordent même entre eux. Ils ne peuvent passer le big bang et ne le pourront pas dans notre cadre actuel des choses. Je laisse bosser les optimistes qui pensent percer cela un jour, rajouter ici une couche de voiles, de réalité, n'y changera rien. Ils ne savent pas ce qu'est la lumière alors qu'il y en a partout, et pour les écolos, on a toujours pas trouvé ce qui fait la vie dans la moindre cellule d'un simple brin d'herbe.
Tu vois mieux ce que c'est maintenant, un vrai principe de précaution ?
Pourquoi il faut faire voter les enfants pour éduquer notre regard sur le monde, pour des chemins non vains ?
Pour que tu sois un peu de l'amont, pour changer .
Ta marche d'avale au sabre.
Que cherches-tu à m'apprendre que je ne sais pas ?
Me le diras-tu ?
Tu as infiniment plus de chance de gagner au loto et te faire ramener l'argent en entier par quatre vingt dix neuf intermédiaires, je te laisse mettre les tirets s'il y en a, que d'être en vie aujourd'hui. Ce n'est pas moi qui le dit, ce sont encore les scientifiques quand leurs mâchoires se rendent compte de la probabilité de la vie dans notre univers
à peine connu d'un poil d'Hubble.
Tu crois que je me prends pour un élu ?
Ben tu as complètement raison.

Tite pomme va.



Je vais partir quelques jours sLv
Je vais quitter la toile.
Aller sur des sentiers de granits
Ombres, pluies ou lumières aux micas scintillants
Je regarderai filer aux lieues tectoniques
Les vibrations de mes pas
Avertissant tous les Esprits qui pourraient y être

Je vais dans ma famille.

Parce que j'en ai déjà rencontré beaucoup beaucoup.
Certains étaient même de sacrés farceurs :)
Je me souviens particulièrement d'un ours
Enorme.
Et j'ai vu que la tête !
Un de mes repères aujourd'hui encore
Je vais te dire un truc
Quand tu as passé plus d'une heure à le regarder
A n'oser respirer que dans ta manche pour
qu'il ne te sente surtout pas !
chuuu
Que tu as vu la nuit te recouvrir
pas à pas,
Lui et toi
Pour t'apercevoir que tu étais devenu lui
C'est à dire une vieille souche découpée et immobile dans un décors soudainement désert.

Ben tu te sens initié après ça :)))

Et tu aimes la vie plus que ta survie.

As-tu déjà passé une nuit seule en forêt ?
Quand ton esprit se pose aux étoiles
Que bruissent autour de toi mille vies
T'entourant d'une Paix aux mille chemins

C'est l'Esprit Prince

Comment ne pas l'Aimer ?
Comment ne pas vouloir être de ce Chemin là ?
Qui n'appartient qu'à Toi.

Que je verrai bien à mon retour
sLv

Douces pensées

~

Miaou

Heuuu, je voulais dire Hugh !
.
:)
Ca, c'est le sourire du chat d'Alice
Pas chat de chat pas
Ronnnrouuu
~ y !

Cumulus nimbus



Je suis pas sûr d'avoir bien entendu sur le coup là :)))
Tonnerre de Brest !
J'espère que ce n'était pas un lapin
Juste un bomo~coeur de passage
:)

C'est que des fois
Je me prends de ces pommes !
Si douces chaleurs

A tes mots sans rime
Portants mille couleurs
Au poil
De mon âme
Soudainement inclinée

27.10.06

Pinpinland'art



Ben ! Qu'est-ce que vous foutez encore dans la boite ?
Vous allez carrément commencer à sentir le renfermé si vous continuez comme ça.
Je vous dis vous comme ça je suis sûr d'oublier personne. C'est que je ne voudrais surtout pas faire d'exclus ni de jaloux. Ils souffrent assez comme ça.



Un jour, j'ai fait "Bou !"
Tu auras peut-être raison de ne pas me croire, mais ça en a stoppé net un bon paquet :)))))
Sont partis à 90°
On les a plus vus.
Incroyable !



J'en ai profité pour être en lumière avec des êtres très chers à mon coeur. Même si eux ne me voyaient pas.

Nuits égyptiennes mon Amour
Filent en tes Cieux des précisions d'étoiles
Demeures d'éternités crues et sensuelles
Belles d'éphémères sagesses
Au frôlement de tes ailes

Hugh !
Là, franchement, si tu dis que c'est le bordel chez moi, je te dirai pas le contraire :)))

Plume blanche ou plume noire, je vous en laisse les mots
Gravures d'éternité sur pas d'argile en craie de velours
Où vos chemins ne seront de vin qu'à boire

Hips !



Cela pouvait donner aussi d'étranges sinuosités
Mandragores nourries au lait de quelques mères
A jamais insatiables aux chimères d'une vie sombre
Qu'il fallait souvent secouer typo Orange Iña
Olé !
Aï aie ~y !

Quand même, des dalles laborieuses se passaient
L'appel s'entendait parfois
Des enfants grandissaient
Jésus de blancheur préservés par quelques mains
Prêtes à se laisser enfin envahir par l'Amour
Comme qui dirait presque en cotoon's club
Pour que je puisse venir tirer la valvule et rire un bon coup
Sans vouloir parler trop con typo spécialiste



Hoo! Hisse ! La saucisse !



Qu'est ce que c'est que ce truc ?
- Je sais pas... mais je suis sûr que c'est un sidus volfus Bz 23
Haaaaa! ne le touche surtout pas !!!
-
Tu risques de devenir tout rouge



Suivant !

Pffff, qu'est-ce que j'ai comme taf en ce moment :)))
Ca pompe sec d'air frais
typo tristus~rigolus
Heureusement je ne suis pas seul




Chuuut...
Ecoute comme ça s'ouvre quand tu ne m'entends plus.
Douce nuit


Toute forme et fond dans le Caravaggio, petit patapon


C'est juste un p'tit couple qui regarde passer un enfant
au milieu de gens en Paix

Tu veux encore douter de l'Amour ?
J'ai tout mon Temps,
sLv

Quand Pinpin loupe son rendez-vous

Ce qu'il y a de formidable quand tu t'occupes d'un projet qui te tient à coeur, c'est qu'il fini par t'habiter entièrement. Au bord du sommeil, tu y penses encore, parfois pressé d'être déjà demain. Que cela dure trois jours ou quelques mois ne change pas forcément grand chose. Le fait est que quand ça s'arrête, l'être passionné, enthousiaste, débordant d'énergie, "sur la brêche" comme tu dis sans savoir ce que tu dis, avec la fiérté d'être, TOI, utile et patatarte, bref, ce flamboyant que tu étais se retrouve bingo les billes en flan de pomme, se demandant où est passée sa peau, son être et tout le patacaisse d'une vie qui semblait devoir durer mille ans.
Le feu est parti avec les formes et tu te retrouves dans un vide affreux que certains nomment scientifiquement et maladivement "nervous break down" afin d'en éclairer intelligemment la substantifique moelle.
Ceci dit, il existe plein d'autres situations où tu peux avoir la chance de te regarder ainsi, face à face à ton miroir. Pendant les vacances, le dimanche après midi, quand tu te fais virer pour raisons économiques, où encore à cause de ton âge que c'est écrit que tu sers plus à rien qu'à brouter juqu'à crever, et que si tu as mis de côté, faut le claquer en t'amusant comme un beul's et que si tu le fais pas, on te le prendra après parce que ça ira aussi mais je m'égare.
T'es rien du tout.
Comme c'est écrit partout qu'il faut que tu sois quelque chose, que la vie c'est comme çi ou comme ça, parce que autrement c'est que tu es fou, minimum malade, névrosé obligatoire, qu'il va falloir aller voir un psy, une fille de joie, un derviche tourneur, faire de la politique, regarder les loches culs troncs à la tv, vibrer aux p'tites balles rondes, bouffer du médoc, te remplir avec n'importe quoi et même de la bouffe, du moment que ça te remplisse, pour que tu redeviennes enfin "humain", comme si tu ne l'étais plus, comme le con qui s'en suce beaucoup et brule du vent comme du carbone.

Je sais que tu m'aurais planté là-dedans si tu avais trouvé ne serait-ce qu'un clou, ou trois, si je m'étais laissé faire. Et ne crois pas que je vais porter votre croix :)))
Tu me prends pour qui ? Tu n'es pas assez grand tout seul ?

Tu viens de donner de toi sans trop compter, et quand enfin tu te poses, que tu pourrais regarder tout ce que tu n'as pas eut le temps de voir, réfléchir à ce que tu as fait, ce que tu as reporté, enterré, enfoui dans cette aventure, comme par exemple la vanité de ta situation ou la grandeur du monde, profiter d'une légèreté retrouvée, d'un sourire serein, capable d'envisager ton Temps, y prévenir les ombres de demain, et bien non, il te faut tout de suite beaucoup plus, tu ne sais pas quoi mais il te le faut.
PuisQUE TOUT LE MONDE TE LE DIT
Oups ! J'ai touché la touche verrouille~maj.
Tu pourrais tuer pour ça, tellement tu as mal.
Tu en deviendrais altruiste que je n'en serai pas plus étonné.

Alors que tout Toi
te montre, te dit, te hurle !
que tout cela n'est que poussière.


Merci pour ton cadeau, mais vois-tu,
j'ai peur des cadeaux que tu sais pas ce qu'il y a dedans
:)
Moi, j'aime bien les pommes, une seule me suffit bien.

J'ai pas fait d'image.
Et pis j'ai pas envie d'en mettre une d'avant.
J'me sens un peu icôno-dépressif ces temps-ci.
Va falloir que je me surveille... :)))
C'est parce que j'ai envie de faire des photos pile-poils et que j'ai besoin d'un "modèle", avec des robes typo orientales, des bijoux flottantes teintes. J'aimerai des rondeurs de douceur et de mouvement, typo Clochette versus life, jusqu'au grain de sa peau.
Alors, comme à chaque fois que je me mets un objectif devant le nez, ça meinimise mon maintenant.

Hugh !

Heuuu... Le message est clair ou je dois faire des petits nuages ?

26.10.06

Vrac'art du Nord



Il faudrait que je range l'atelier
Pour glisser vers d'autres formes
Où lover mes pensées de Toi

Heureusement,
tout cela tient dans un sac sans importance
Ne dépasse pas le dessus de ma table


Impression sur aluminium brossé Hauteur, 99 cm.
J'en ai largement assez pour jusqu'à la fin de ma vie,
"d'oeuvres" et de baratin, heuuu, je voulais dire,
de beaux discours pertinents pour les galeries.
Il n'y a qu'à piocher dans le tas
Si on veut
Je ne compte plus les artistes que je pourrai être
Sous vos enfermements
Ce n'est pas un grand poids.
Je ne suis pas aveugle
sLv

Sans Toi,
Je suis rien

Tu me sais maintenant ?

Faut faire voter les enfants
Ca prendra le temps qu'il faut
Les p'tites montagnes
Les p'tits creux de vagues
Pas là pas là là
Son chemin sans faille

Que fais-tu maintenant ?

Réfléchis bien 5 minutes,
Tu as tout Ton Temps
sLv

25.10.06

Techno/derviche


Faites gaffe quand même, quand vous vous tapez un flash in the night, ou tout rouge jusqu'aux oreilles, parce que vous avez encore avalé ce que je dis sans savoir de quoi je parle. J'ai pas toujours le cosmico scoot sous la main et il y a quelque chose de personnel et solitaire dans l'expérimentation de son chemin et de ses états.
Il y a souvent une contre partie, un prix à payer, pour parler comme tout le monde.
Tant que tu ne crois pas que seul l'Amour conte.
Que tu ne crois pas à l'invisible.
Parce que tu as autre chose en tête.
Qui te cache à toi-même.
Question~
Je crois que j'ai un p'tite poil d'avance pour l'instant, sLv,
c'est tout.
Paslapaslala.
Faut pas croire que ça m'amuse forcement.
Ni que ça me fasse pleurer à chaque fois :)))


Je crois que je rencontrerai d'autres regards
à m'exposer en physical land art life.
Je vais y réfléchir sérieusement, sLv.
Je ne peux pas me consacrer à tout.
De toutes façons, je fais le kéké ces temps-ci.
Je raconte juste autrement ce que j'ai déjà dit.
Et toi là-bas, je te vois venir avec Tes insinuations,
venues du fond de tes habitudes.
Un cadeau sans amour a un prix.
Et pis un ticket carbone pour être sûr.
Crois bien ce que tu veux.
Mon train-train n'a qu'une seule voie.
sLv
.
:)
~ y !

24.10.06

C'était...


... juste une belle histoire, un court récit qui n'aurait pas été plus loin que ses propres mots datés, l'amour écarté.
Pomme à terre posée.
C'était... raisonnable

Je La savais sans début ni fin

Légère à la plume de tes reins

Ne t'avais-je pas dit,
Que j'en ferais un pinceau
A caresser le grain de ta peau ?

:)

~y !

Signe d'origine


C'est une joie quasi païenne que l'échappée belle
des illusions de soi et du monde
Image se découpant d'elle-même aux vents d'un Temps accéléré
Sentir ses inscriptions prendre sens dans la fluidité de la Nuit
Harmoniques profondes, lumineuses d'être libre et de Le savoir
Je chante et danse et tourne aux mille fêtes de l'Amour
A la beauté d'un monde ému d'y retrouver Tes yeux

23.10.06

Perle



Sans que personne ne sut vraiment ni pourquoi ni comment
Elle trouva un jour une perle
Sa perle
Ce fut un anniversaire sans date
Tige d'une fleur soudainement éclose

De l'élancement de sa main
Jaillissaient aussi belles
Des cascades de roses parfumées
Pétales poussières chantées aux quatre vents
Notes rieuses aux étoiles en lumière

De la Grandeur du Monde découverte
Elle marchait au Jardin des Détails de Lui
Perle aux cent savoirs de son Coeur
Lovée au partage de l'être et de Son Infini

Ne te connaissant pas
Je pourrai te rêver mille ans
Souriant en toute joie chaque pensée de Toi

Je crois pouvoir te dire
Sans ombre aucune
Que mes amis seront tes amis

Boomerang



Les signes se mirent au frontispice du ciel
Cernant le veau d'or
Perçant les voiles
Comme mille prières
Ils redisent à la Nuit des Temps
Que l'Amour ne fut pas oublié
Qu'un Monde allait naître
Porté de mille graines
Mille tibrins
Mille gestes

Là où plus jamais
Tu ne serais absente de Toi-même
Sans ombre à Ta Lumière

sLv

Qui verra verra...



Ce qu'il me plait de penser ce soir, c'est que le jour où quelqu'un parmi ceux et celles qui me suivent va comprendre ce que je dis depuis un bon moment déjà, je crois que ça fera un drôle de choc. Ca n'arrivera peut-être jamais, les conséquences de ce que je fais ne dépendent pas que de moi. Oui, un drôle de choc parce que être deux à partager l'ignorance du monde et ce qu'elle apporte, j'ai l'impression que cela fera bien plus que 1 + 1.
J'ai souvent cru que la proximité dans laquelle se trouvaient certains, j'emploie le masculin, ce n'est pas moi qui n'ait pas mis d'androgyne dans la langue française, dans leur rapport au vide, au don, et patati, serait une facilité pour passer.
C'est loin d'être aussi évident.
Combien de fois ais-je été embrasé de voir leurs mains effleurer la nuit ou du moins mettre le pied sur quelque sentier d'or ?
Pour m'apercevoir quelques mots plus tard que rien n'était gagné.
Oui, un drôle de choc pour ce premier. Quand ilL re-découvrira ce que je lui mettais sous les yeux, incrusté dans cette parois de verre et qu'il ne voyait pas :)))
ilL parlera peut-être mieux que moi.
Plus clairement. Plus intelligemment. Plus je ne sais pas quoi.
Je pourrai peut-être même faire un tit'break ?
A moins qu'ilL ne quitte la toile.
Qui sait ?
ilL fera ce qu'il a à faire et ce sera bien :)
sLv


Bleu de l'Ambre
Sans commentaire :)



Bzzzzzzzzz
J'ai choppé Clochette !
:)))
A moins que ce ne soit l'inverse :)



Ben ! Tu es passée où ?
Je ne te vois plus.

Prends ton temps :)
Mais reviens vite !
:)))

C'est quand même pas parce que je t'envoie bouler
qu'il faut te taire !
Comme ça, tu peux voir ce que tu fais pour repartir. Tes appuis. Tes attaches. Leurs sources.

22.10.06

Bou !



C'est juste un cri
Une prière horizontale
Une parole de tous les foins
Une engueulade à vous bouffer les doigts

Parce que vous n'êtes pas croyables
Parce que vous ne vous croyez pas vous même

Vous ne croyez personne
Parce que vous condamnez toute vie qui n'est pas la vôtre
Vous vous condamnez
Sur l'hôtel d'un égo qui ne vous sert plus à rien

Vaste troupeau aux savoirs dévoyés et saccageurs

Et tu te crois unique là où tu es tout ce qu'il y a de plus vulgaire, d'artificiel, juste parce que c'est le bordel dans ce que tu penses,
Que parfois tu y prends une raison qui ne durera guère plus
Que le temps d'un songe
Le temps d'une allumette
Parfois le temps de ta vie


Occulus pinpin en lévitation basse

AS es tu !
Acteur/Spectateur des massacres,
Rythme effréné
D'une mastication lente

Diras-tu cette fois encore,
Face à l'Histoire,
Que tu n'en savais rien ?

Que tu ne pouvais rien faire
Vraiment
Que plier/ranger


~Passer


Serein
au-dessus des cadavres et du sang
des élus de ta main.

21.10.06

Petit poisson



...deviendra grand :)

Il n'y a rien à refouler des larmes d'impuissance
Face à l'insupportable du monde.
C'est l'inscription d'une prière
D'un appel
D'un voeu
Dans la profondeur de tes fibres
Vibrations dans l'univers

Qui sait demain ?
Peut-être verras-tu venir,
Dans les entrelacs de ton savoir en éveil,
Le possible d'un pas ?

Sans préoccupation d'amont,
D'ouvert,
Tu ne verras rien
Ne sauras rien
Ta vie sans issue
Ta tête dans ta queue

Pupitre d'hélium



"A jamais je marcherai sur ces rivages,
Entre sable et écume.
La marée haute effacera les empreintes de mes pas
Et le vent soufflera l'écume.
Mais la mer et le rivage resteront à jamais."

K. Gibran

C'est le premier texte du livre.
C'est joli et puis Paf ! "Mais la mer et le rivage..."
J'aime pas les mais.
Ils sont capables de t'envoyer tout un texte en l'air.
Ils interrompent toute pensée qui y perd sa fluidité,
Son cheminement.
Comme un coup de sabre.
Tchac !
Parce que la mer, ainsi l'écume, le vent, le rivage
N'ont pas toujours existé,
Et que personne ne sait demain.
Son attachement à la matière,
Son étroitesse du temps,
Lui fermeront bien des portes,
Des lieux de Paix.
Sa souffrance,
Ses pulsions de se libérer par la violence, la colère, le report et l'élévation sur autrui y raclent souvent la sourdine.
Je crois que c'était un homme bon,
fondamentalement.

Parfois
Un seul mot de toi
Et
sLv
Je te sais,
Dans le profond respect dû à mon ignorance.

En plius,
Faut jamais dire jamais.
Faut réfléchir un peu avant de s'élever au-dessus de la sagesse
Populaire.

" Faut pas gonfler le derviche qui tourne "
Ca, c'est de moi :)))

~y!
:)
.

20.10.06

Little gourou



Que la vérité du poil soit pile avec toi mon frère !

:)))


Qu'est-ce que je me marre des fois !
Je vais te dire un truc,
On n'est pas prêt de me faire changer de métier :)

sLv




Dans l'alchimie du profond
Du temps qui s'y plait
Du vide et de l'ignorance éclairée
J'habite des univers
Qui me transportent et me portent

Demande à Newton,
Lui aussi s'éprit pomme.

Seul
Pour l'instant, sLv
Parce que c'est ainsi
Que je ne sais pas demain
Je repars vers des contrées d'immensités
Grandes comme le bout du doigt
Petites comme le ciel quand il embrasse l'océan
Et parfois s'éteignent mes mots
Au frôlement de tes sens



Ce sont des voyages sans sécurit'ceinture
Typo 1ère classe
Si tu veux
C'est Superman qui tient la petite par la main et la fait tourner un peu pour lui montrer des trucs.



Je te raconte pas quand il lâche jusqu'où ça vole !

Ca risque rien, mais quand même, quand je vois que ça pars en vrille n'importe où,
Que ça va faire perdre du temps,
Je prends mon cosmico-scout
Et Bzzzzzzzzz
Je pars récupérer la belle



Et puis je la regarde dans les yeux et puis je lui dis le premier truc vrai qui me passe par la tête, genre :
Hoohoo, remets-toi ! Je suis juste un artiste. Tu te souviens ?



Comme tout s'éclaire, ça va tout de suite mieux.
Suis un ange quand je m'y mets :)


Trône sablier sur mouette rieuse

Plus t'es assises
Plus tu vas loin
Plus tu t'enfonces
C'est très con comme siège
Un truc à se retrouver coincée les jambes en l'air
Et en plus, tu crois voir où tu vas que quand tu es passée dessus !
J'veux bien venir quand même,
Tu peux voir pourquoi,
C'est juste histoire de te retourner
Pour une mousson de degrés :)

Ca tient des fois juste à un des clics sur image



C'est plus facile de voler
Quand on se sait poussière

Blog in time



Quelque chose c'est envolé
La rencontre des corps n'a pas eut lieu
N'a pas été voulue
Chacun repars libre dans ce monde
Où parfois des illusions se posent

Les mots qui n'auront pas été dit
Dans la précision au coeur élu
Ne seront d'aucun retour
D'aucune certitude

Les mots placés aux vents
S'offrent à la multitude
Limon de choix à la main qui passe
Sitôt perçus à l'oeil évaporé
Déjà vers l'ailleurs égaré



Ici s'inscrivent les sentiers
Dont quelqu'un pourra peut-être dire :
"Ils savaient,
Ne voulaient pas voir
Perdus dans les poussières de vaines étoiles
Ils gémissaient leurs vies sans floraison
Le temps filait comme jamais
La peur de leurs propres armes
Capables d'anéantir leur propre monde
Fut relayée par la chape de leurs aveuglements
Où tous participaient
Entrainant les pas de notre présent"



Je vous rebénis un p'tit coup ?
Allez, on y croit,
Des fois que ça t'ouvre le bocal...
:)



Que donnes-tu au monde ?
Sais-tu que j'en fais partie ?
Si tu ne sais pas,
Ne dis pas que tu m'aimes.

Que prends-tu au monde ?
Sais-tu que j'en fais partie ?
Si tu ne sais pas,
Ne dis pas que tu m'aimes



Que veux-tu savoir d'autre ?
C'est encore une cage que tu veux ?

J'en ferai un pinceau
A caresser le grain de ta peau

sLv

Douce nuit



Puisse-t-elle voir tomber tes chaines
Te redonner ta main
Pour des matins jamais vains
Aux rivières de lumières

19.10.06

Casques êtes



C'est avec une certaine émotion bien en tendue que je vous parle aujourd'hui de votre branche préférée.
J'appelle à la barre ton origine australopipéquantienne et te laisse juger par toi-même si tu veux le fer.

C'est toi qui sait.


1 Parce qu'à l'époque, j'imagine qu'il t'en fallait du désir. Histoire d'aller tripoter un peu le mammouth, et puis une fois qu'il était plié, que tu étais bien fatigué, devoir expliquer à la bestiole à grandes dents, que non, quand il y en a pour un, il n'y en pas forcement que pour un selon son point de vue d'animal concupiscent et que ta famille en a besoin.
2 Violence et hargne et haine pour l'amour jusqu'au bout du sang.

De quoi aimer le feu...

Seulement maintenant que tu as de quoi manger, un toit où habiter l'espace, travailler sans plus y réfléchir parce que ça te fatigue, te voila tout pendu à lui pour unique horizon.

Et tu fous un de ces bordels !

T'as posé le monde dessus.
Tout en découle, insinue toutes parcelles.
Tu ne les vois même plus.
Ton égo te baise.
Te chantbranle.
Un feu hors contrôle, hors visu et insatiable.
Jamais satisfait.
Jamais en paix.
Comme t'es pas con d'un poil, tu sens bien que ça peut pas aller comme ça tout simplement, alors tu commences à vouloir mettre de l'ordre, t'inventes des tas de trucs plus fous les uns que les autres. Et puis tu fais des lois, des casernes, des cachots, des tiroirs, des planques, des plaques de planques, des mégachochefs, des idoles, des icônes pour te reconnaître, et patati et puis tu te forges les plus gros bâtons possibles, tout ça pour te rassurer que personne ne viendra piquer tes petites olives.
Et c'est de pire empire de chez en pire.
T'es prêt à tuer pour ça et tu te gènes pas.
Même si c'est pas à toi.
Si c'est là aussi pour tes enfants.
Ta nappe phréatique, pétrolifère, par exemple.
Qu'est-ce tu crois qui va en corps couler de tout ça ?

Je te dis pas la tronche du prince charmant et de sa grenouille,
s'apprenant durant des siècles à la conduite en auto-miroir !


Ils ne savent même plus se faire confiance, si souvent, même juste à deux.
Trois, c'est pas encore gagné...

Y'a bien un prophète de temps en temps.
Des hommes ou des femmes de passage, quoi d'autre ?
Tu essayes d'éclairer ta vie et elle éclaire autour de toi, oui ?

Chica tchic aï aie ~y !

1 Comme tu es comme ça et que tu n'arrêtes pas de te regarder pour voir si tout est bon dans le cochon, tu crois évidement que tout le monde est comme toi.
2 Que tout le monde te regarde.
3 Tu deviens même capable de me voir avec une trompe d'éléphant.
Moi je veux bien, ça me dérange pas trop en général.
C'est toi qui parle.
Pour tout dire, ça me fait plutôt bien au rire :)))
Suis joueur, parfois.

Bruiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!

Juste ne me dis pas que tu m'aimes
Si tu ne te connais pas.
Chante pour d'autres, cela me comble :)

2 J'ai pas peur de tomber de haut quand j'ai les pieds sur terre.
1 Je suis donc à la bonne hauteur Coluchienne

Warf !

Heuuu, j'voulais dire : miaou
Suis plutôt fait lin.

~y !
:)
.


Bien plus petit que ce que tu crois je suis
sLv

18.10.06

Deux trois têtes'art



typo e~mages

Parait que j'étais fou,
à l'époque
:)))

C'était avant l'ourson well,
le typo collant

Barrez-vous !
L'est sorti de la glotte !




Chica Loca, disait-elle s'appeler
J'avais bien secoué la cage
Je crois qu'elle commençait à monter dessus.
Pour un peu, j'aurais vu sous son voile
Me frisant l'oeil à l'escalade du désir

Vivement demain !

Ben non,
J'vais pas commencer comme ça.

C'est chaud quand même :)



Parce que le désir, c'est un sacré morceau
Du lourd
Il faut bien que ça m'amuse un peu
Pour leurs raconter un peu les sexes
Les phallus tendus
T'as vu, j'ai pas dit bite
Les envies de combler vide
Je parle pas con moi :)
L'absence
Garder l'acquit
N'en rien lâcher
Et patati
Rototo
Rhoooooo!
Même quand ils sont seuls ensemble !

C'est pas facile à décanter :)
Heureusement,
J'ai ma centrifugeuse
typo derviche



Clic clac, c'est dans la boite ?

Parce que tu sais comment que c'est
Une fois qu'on a vu les genoux
On a envie de voir ce qui manque à l'appel :)))



Ciao
Bella !
:)



Faut reconnaitre que les métiers de la plume
C'est pas des métiers faciles
J'aimerai pas être à votre place
Ca doit parfois être lourd à porter :)))






Zoubi one
Tite Mignonne
C'est moi le plus petit
sLv

~ y !
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Qui je suis ?

Ma photo
D'où je viens..... D'où je tiens :))) http://wizzz.telerama.fr/pixels Si vous imprimez d'ici, merci de penser aux sdfs, ces hommes au ciel pour tout toit. On va dire que c'est pour eux que je fais tout ça :))) En rang par trois je vous prie, bien gentillement. J'veux voir qu'une tête :))) Pas là, pas là, là