30.9.06

Pas clair



Pourquoi aiment-ils tant souffrir ?
Je crois qu'ils aiment cela.
Peut-être
Elle leurs donne ses étirements doux qui réveillent au futile des vies.
Elle les enlace en des rêves frôlant la mort où ils butent et repartent
Cherchant au plus sombre de l'ignorance des fils d'espoir sans futur

Et je me tenais là, pas là, pas là, là, devant ce temps gaspillé et perdu
Je le savais trésor aux angles de Lumière enterrés des lieux sous coeur
Ils se grossissaient expliquant l'inconnu divaguant leurs êtres en ombres
Mes larmes ne rongeaient pas l'issue de leurs sources trompées d'illusions
Ils n'osaient en remonter les courants, pris de brusques inquiétudes

Je pars en des vols où je m'éloigne pour retrouver le monde
Eponge de tes larmes j'en sèche le sang des fibres aux Ors du Soleil
Cristallisation au vent claqué en mille poussières
Parce que j'ai besoin de te retrouver telle que tu es
Pas telle que tu me dis si souvent

Quand tu te blesses, sais-tu que c'est moi que tu blesses
Sais-tu comme ils me sont pénibles
Tes chemins où tu erres ivre fou
Prêt à te croire un destin de martyr ?
Je ne sais pas qui t'a raconté ça
Surement pas quelqu'un qui suit la Voie de Dieu
Tu vois quand même bien que c'est pas possible
La Voie de l'Amour
La Voie de la Vie

La Voie de ton Coeur, si tu préfères
De ta Paix profonde comme le monde


Mon souffle sur toi.

Ben oui.
Comme cela, je suis sûr de te toucher
A l'endroit qui te soulève le plus les côtes
Je fais ce que je veux de mon souffle
Et tu reçois ce que tu veux
C'est cool :)

Heuuuu, un petit souffle ailleurs ?
~Eric !
Grumpf ! On change pas un truc qui marche à chaque fois :)))

Si tu voyais comme je vois vos cités grisenoires
Où tout n'est que souffrance aveugle
Juste parce que vous le croyez
Et que d'autres vous voient ainsi
C'est facile d'en profiter
Il suffit de vous considérer en nombre
De vous voir comme des gros paquets
Vagues noires si bien ficelées
Pour tout féroce appétit



Je l'ai appelée "Croque Saint", bride où ?
Bof.

C'est pour exemple. Parce que si tu te dis je vais vendre des fringues puisque les gens aiment bien se sentir beaux. Exploitons donc la vanité sous toutes ses formes. Pour l'individu, tu repasseras ta connerie au passage, ce sera bien. Alors tout le monde s'y jette. Je te dis pas le gâchis de matières proposées, puis jetées, lale mode est si rapide, je sais pas comment tu fais pour y passer tant de temps en tout. Tu n'as même plus le temps d'aimer ce que tu portes plus d'une saison. Zut, c'est vrai : pas ta Rolex y parait.
Ben si je le sais.
Il n'y en a que pour toi. Il n'y a que toi qui compte.



Un truc à se prendre la tête
Faudrait p'têt que je lise un peu plus de Bourdieuseries :)))
Pour mieux te connaitre.



Parce qu'il y en a, comme ils en bavent
Ils finissent toujours par vouloir te faire porter les croix
De leurs petites constructions égocentriques
C'est pas Jésus, le Salut sur Lui
Qui me contredira
Compte pas sur moi pour faire la même chose.
C'est derrière moi cette histoire
Et tu es là



S'incrivent en boucle des étoiles aux blancheurs incertaines
Où s'agite en permanence un ruban d'or massif
Et fleurs de lys parties qui s'y trouvaient trop redondantes

Je n'ai pas fait l'école qu'il fallait et toi non plus
Nous sommes gouverné par un bocal en fermentation grâve
Où mille enfants se pâment
Sur le dos de vos impuissances grâves
Bite et bite et colégram
Tes couilles empochent
Alors c'est bon
C'est ni vu ni connu
C'est vrai que tu ne ferais pas mieux
"et tout le monde est de bonne humeur"

Chuuuuut.
Faut pas réveiller les enfants qui dorment,
Sont crop mignons.

29.9.06

.


Note apparente N°66, Page de 18, comme il m'avait été dit :)

Amis lecteur

Qui déboule ici sans rien savoir
,
je peux te dire que tu ne pers pas ton temps.
mes autres blogs dont tu trouveras les liens ici ou là
Dis-toi aussi que c'est une bonne grosse pomme :)))
Une vraie pomme des familles
une sortie d'oeuf fragile subtile comme une volute vous

Bien sûr, tu y comprendras aussi pourquoi il faut faire voter les enfants et comment j'en suis arrivé là.
Si tu veux.

Tête en feu



Je change ma photo.
Je change mon pseudo.
Je suis un autre.
Un de plus,
Ou un de moins ?

Quel chemin y suivais-je
Pour donner tant d'efforts
Qu'un mot pouvait plier
Mes brindilles mises en pièce

Change juste
Ou pas
Si tu avances
Vif au doucement
Cela suffit bien
Les regards instantanés
En têtes de feu
Qui décide ?
Moi ? :)))
Les rires changeront vite
Au feu de toi revenu

Apaisé

Au tam~tam des glaces et des miroirs

Pas la forme



Ben, qu'est-ce que tu as ?
- Rien. Je danse. Je chante. Je tourne
Ca sert à rien.
-Tu as peut être raison, mais comme tout le monde réfléchit, je garde un axe qui ne doit pas s'éteindre.
Et alors ?
- Continue de réfléchir.
Ben là j'ai pas le temps. J'ai une course à faire.
- C'est bien ce que je dis.

28.9.06

Aie aie ouille aie



Tu étais dans une jungle
Et tout à coup
Te voila dans un désert.
Tu croyais mille feuilles
Milles branches
Tendues au feu de quelques étoiles
Que tu croyais pouvoir saisir comme cela
D'une main en logiques d"évidences apprises.
Pourtant maintenant le plomb coule
Issu de racines noires à teinter le ciel
A manger toutes lumières
Le vide de ton être s'étend à perpétuité
Tu t'aperçois que tu n'as rien gagné de ta vie
Et ton regard flotte sur toi comme la misère sur le monde
Au cherche partout en miroirs déjà vains
Tu te dis que tout n'est plus que souffrance
Saperlipopette ! Qui t'a mis cette idée en tête ?
Ta souffrance aussi n'est que chimère
Comme une ultime prétention,
Une dernière vanité.
Ton égo ne veut pas mourir
Il te leurre où ça fait mal.

Ecoute plutôt le chant de tes veines
Ecoute ton coeur danser l'accord d'esprit
Ecoute cette palpitation dans l'infini du monde
Tu es en vie
Prends donc un peu le temps
De gouter à ton miracle
D'être rien
Ce fruit de l'Amour
Ton ici au monde

Tu es dans l'errance depuis si longtemps
Tu n'es quand même pas à 5 mn près :)))

Virage



Non je ne snifff snifff pas la coke
Je te dirais bien que j'ai déjà essayé mais je ne me souviens plus. J'étais tellement mythomane à l'époque que je frimais à le dire sans un rond en poche. Alors je sais plus si c'est vrai ou faux aujourd'hui. J'avais dans la poche quelques mensonges comme ça, pour voir. Cela m'a permis de constater par exemple leurs implications exponentielles dans le temps. L'effort de mémoire ingérable. J'ai du faire à cette époque, comme si c'était hier, boire un thé, faire deux trois fixes, et une fois rentré au pays, ben, j'avais plus un rond.
Alors on se prenait n'importe quoi. Il y avait du même pas cher tout coulos en pharmacie, des trucs incroyables. Je dis pas ce que c'est, on sait jamais, des fois que ça y soit encore. Par exemple les cigarettes au datura, ou ces pastilles... On avait tous les cheveux qui poussaient en même temps. Je te dis pas les rigolades roses que l'on c'est tapé en buvant juste une bière.
Je me suis même endormi sur ma moto une fois. Je me suis réveillé, je volais sur le dos comme un avion et j'ai vu la moto me doubler dans le ciel. T'es plus pareil après ça. Tu deviens un initié. Tu deviens même un peu célèbre parce que le cantonnier qui passait par là n'a rien compris à tes explications mais juge serein de te ramener chez ta mère parce que l'hopital psy c'est trop loin. Autre exemple, il y avait un pont avec des arches en béton qui décrivaient une portion d'ellipse sur la rivière. Je suis passé je sais pas combien de fois à coté avec ma mobylette, à la bonne vitesse, à inspecter où ça pourrait pas marcher, où j'aurais pu tomber. Une belle nuit, silencieuse, sans voiture, l'esprit bien clair, bien dégagé, je fais hurler la bestiole et je fonce. Ces cons là avaient remplacés le bout de trottoir cassé par lequel je devais m'engouffrer pour accéder à l'arche deux mètres plus loin. T'es plus pareil après ça.
J'ai perdu plein d'amis. Aussi des amis qui pouvaient devenir des monstres comme tu n'imagines pas parce qu'il en a trop aujourd'hui et que c'est pas de leur faute à eux non plus.
Le pardon est un chemin. Ce n'est pas un acte qui se décrète, d'un claquement de doigt, d'une simple prière, d'une chape d'oubli forcé contrainte d'où s'envoleront encore longtemps, de sombres revenants à pourrir tout futur.

Je te raconterai peut-être un jour certaines expériences que j'ai de ne pas aimer les armes. sLv
Quelles qu'elles soient.
D'où qu'elles viennent.

27.9.06

Tu me dis donc je suis



Je fus bouffon
con
stupide
attachant
désirable
aimé
détesté
ignoré
femme
homme
artiste
photographe
peintre
sculpteur
écrivain
poète
cultivé
érudit
ignare !
rêveur
Fou de Dieu
Fanatique
psychopate
satanique
grossier
malpoli
gentil :)))
insultant
conciliant
franchisant
juge
chef
illuminé
hargneux
colérique
pervers
schizo
autiste
ange
vieux
jeune
Tu me dis tout
Merci
Matamore typo girouette !
Comment je ne verrais pas qu'il n'y a que toi qui t'intéresse ?
Tu t'en fous bien pas mal des autres,
au final.
C'est toi toi toi que toi et toi toujours plus mieux que toi Allelouia !

Snifff.
Snifff.
Triple snifff.



Son corps était presque absent
N'en restait que de résiduelles habitudes aux ancrages incertains.
Elle avait posé sur ses épaules un ruban d'androgyne
Une burka de sagesse coloriant des mondes
Où je me voyais des reflets pour la première fois.
De ces instant de vie aux phérenvères choisis
Elle savait calmer la soif complexe de cet amour là
Pour qu'aux miroirs d'ici infinis et sans leurre
Ses voiles ne s'y grossissent pas

Puisant aux sources du don de son être de coeur et d'esprit
Ses mains coulaient des mots en chantant figurants
De ceux dont on espère bien que plus rien ne les arrêtera
Sauf peut-être un jour
Un autre rayon de Soleil venu de son plein coeur

Je pouvais me reposer à ses côtés
Je pouvais dire ce que je voulais
Une vraie pipelette :)))
Elle semblait savoir ne pas avoir besoin de moi
Comme je n'avais pas besoin d'Elle.

Je crois qu'elle a compris du Temps
On ne s'est jamais vu
On ne se connait pas
Pourquoi se gorger d'incertain
S'échapper en vaines voiles
~Visuelles
Du Royaume offert

~y !
:)

Etoffe


A la frontière de l'enterrement
de l'entendement
là où se tiennent d'autres vérités

Je T'Aime sans y penser j'y pense tout le temps
de pas en empreintes de bulles
des pas en chateaux en toi

Je suis le fantôme du net
le pixel bleu comme une impossibilité

je suis toujours moins là que le pense
je suis toujours plus là que le crois


Dans cette séquence, j'ai perdu une version intermédiaire
il est des gouffres à traverser



Il existe des états très identiques
Qui n'ont besoin d'aucun oubli
Et dont assurément
nulle ombre, nulle image
ne saurait blesser demain

Approche terre, approche terre... Est-ce que j'ai une



Ils commencèrent à voir ce que je leurs disais
Ils commencèrent à me voir tel que j'étais
Tels qu'ils étaient eux-mêmes

Les images commencèrent à se fragmenter entre elles
De ce qu'ils appelaient réalité dans leurs aveuglements
Se glissèrent mille fines lignes noires qui allèrent grandissantes
La Nuit des Temps revenait au Jour
Qu'elle dut quitter pour une larme d'ombre

Leurs voutes s'écroulèrent doucement comme paillettes au vent
Elles glissèrent en réduction de sable entre leurs doigts
Tandis que relevant la tête
Relevant une poitrine si longtemps écrasée
Ils prenaient de plein être l'immensité du monde

L'Univers à témoin
Ils dirent : " je ne sais rien
Vraiment,
Je n'ai jamais rien su."

Puis, voyant leurs poussières reposer au sol
Ils prirent enfin le temps de se regarder
Ils n'étaient plus rien
Au grand Soleil
Ils étaient libres

Et moi aussi :)
sLv

Po po po pomme
~y !

26.9.06

Charpente



Suis même pas parti cinq minutes qu'il y en a déjà pour me mettre en boite. Pour être en guerre, il faut s'y croire.
Ton pays met des soldats partout et tu ne t'y crois pas impliqué.
Depuis combien de temps sommes-nous en "paix" avec le monde, à une époque où un soldat équipé en vaut mille ? Sans même parler du pouvoir de ton fric qui tue la forêt d'Amazonie et ses habitants avec et que c'est pas une vue de l'esprit.
Si moi je te dis que je n'y suis pas ici, tu ne me crois pas parce que je t'ai montré une facette de toi que tu n'aimes pas et qui t'a bousculé dans ta petite vie ?
Quel ami serais-je si je ne te la disais pas ?
Je me suis trompé ? Dans ce cas, pourquoi en fais-tu un fromage ? Pourquoi tu ne me réponds jamais ? Tu as peur de ce que cela peut soulever ? Tu as peur de te voir ? Où cela mène ?
Ca, si c'est pas de la mitraillette d'interrogations , je sais pas ce que c'est !

C'est pas le tout, faut que je retourne à l'école moi. J'ai un gros programme.
Dans l'ordre :

Schopenhauer, Marc Aurèle, Wittgenstein, Proust, Bourdieu. Il faut aussi que je refasse un petit tour chez Voltaire, je crois que certaines choses m'ont échappé la fois où je l'ai lu.

Schopenhauer. J'ai déjà lu "l'art de l'insulte". Ca pourrait être bon, mais comme je l'ai lu sans savoir les antécédents du personnage, autant te dire que je ai dû le lire "bête", sans vouloir être pessimiste.
Marc Aurèle, j'ai regardé un peu sur le wikipedia, c'est que du bon pain on dirait. Du coup, je me demande un peu pourquoi passer du temps à lire des idées qui ont déjà mon adhésion. Ca me rendrait plus fort, c'est sûr.
J'y ai aussi vu un mot que je ne connaissais pas. Il flotte dans ma tête, je ne me souviens pas de la phrase où il était. Peut-être le revêrais-je dans un autre contexte ? Si je craque, il y a le dico.
Wittgenstein. M'intrigue celui là. Je comprends que les élèves ça puisse rendre fou. C'est quand même pas clair.
Proust. J'ai déjà essayé. Un autre jour, peut-être.
Boudieu. Sur le wiki, l'article me semble bien confus. J'ai tendance à penser que son oeuvre doit l'être aussi. J'ai l'impression désagréable que c'est un de ces petits philosophes qui te foutent tellement de chantilly sur le gateau que tu sais plus ce que tu manges. Pour cause, si on le voyait, ça ferait rire tout le monde. C'est une espèce de truc avec des champs, des systèmes et patati pour voir le monde et les petits humains de haut si j'ai quand même un peu compris. Ce qui est bien, c'est qu'à la fin de sa vie, il reconnait que le Pascal, il n'a pas réussi à le dépasser et qu'il reste son Maître. Il aurait mieux fait de le lire plus tôt. Il l'a fait ? Il y a de drôles de vies quand on y pense. Qui se gavent d'inutile, n'accèdent à rien et avouent leur esclavage sans s'en apercevoir. Encore un petit tyran profiteur qui a cru arracher le feu du ciel coquin :)))
Jolie pomme moi j'dis.
Devrait venir se reposer chez moi celui-là.
Zut, il est mort.
Au moins, il ne me fera pas un procès en diffamation ou je ne sais quoi. Je fais confiance aux avocats.
Bon, ok. C'est vrai que je ne l'ai même pas lu et que je sais rien de rien. On va dire que c'est juste une histoire drôle où je suis arrivé trop tard pour lui :)

Ca va me prendre du temps, c'est sûr. Parce que si je lis, c'est parfois très rapide pour qu'il y ait quelque chose que je ne comprenne pas. Si je laisse passer, ça s'accumule le long du livre et je me retrouve à la fin avec une grosse choucroute entre les mains. J'ai horreur de ça.

25.9.06

"Tournicoti Tournicota"



Un des sérieux avantages pour moi à insulter tout le monde, c'est qu'avec ceux qui savent apprendre quelque chose, je suis relativement confiant sur le fait qu'ils n'emploieront pas le même système ou les mêmes formes pour l'expliquer à quelqu'un d'autre.
T'as compris maintenant ?

Pov'tach va !

Mon souffle sur toi

:)))

C'est pas que pour ça d'ailleurs.
~ Bof. Les meilleures choses ont une fin.
Mais ! T'as toijours rien compris !
J'ai déjà expliqué ça, je sais pas combien de fois.
Tu va me rendre dingue.
Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire avec toi ?

~ "Tais-toi donc cinq minutes! "
éclairotonna en la voute plate de mon ciel, la Voix de l'Anonyme

Grumpfjdfwghrighvh,
puisque tu le dis...

24.9.06

Dans les petits papiers



Je passais souvent griffer leurs voiles tendues au Palais d'ici
Songeant à de filantes déchirures
Comme autant de portes
Il y en avait de toutes sortes
Des belles, des laides, des 21ème génération, des vernies, des sombres, des fourvoyées, des vaines...
C'était comme les toucher eux
C'était comme si leur être ne tenait qu'à ça
Une image et quelques mots
Qu'ils changeaient pourtant eux-même le lendemain
Pour autre chose souvent de même tenue

Dans leur poche greffée obligatoire
Ne trainait-il pas une vieille photo un nom
Emballés plastique inviolable
Afin que rien ne s'évade

Petit propriétaire de vents et de chimères
Reprends donc ta liberté
Abreuve toi aux gouttes de ton ignorance
Pour que s'ouvre et chante la Nuit
La Nuit claire des temps jolis
Le Tangible à tes pieds
La Paix en ronde douce

Si tu veux
Tu y seras bien plus grand
Que celui qui croit tout savoir
Tu verras que lui non plus
Ne sait rien du tout

Il est comme toi.
Comment ne pas l'aimer
Si ce n'est en te niant toi-même ?

Ouvre toi, s'il te plait

C'est ta condition d'homme
De femme
D'enfant
Pourquoi ne l'acceptes-tu pas ?
Ton chemin y serait bien
Bien plus tranquille

A la Lumière de l'Autre
A la Lumière du Monde


A qui tu te prends ?

Heu...

.

J'ai pas de peau de renard en stock.
C'est pas grave, comme ça,
je suis quitte de me la coiffer
pour exercer dans la vie sociale.


Hugh !

23.9.06

Message privé au singe qui se reconnaitra

Tu peux être sûre que si une fragilité arrive dans la continuïté d'une recherche cohérente et sincère, il y aura toujours un profiteur branleur pour venir l'écraser avec ses gros sabots, histoire de bien montrer sa science et sa grande gueule soudainement relevée.
C'est facile pour lui parce qu'il n'attend que ça.
Je mets ici, ça me gène, mais comme le singe m'a bloqué sa porte avec un gros caillou sur son couvercle... Parce que ce singe, il n'arrête pas de gueuler les valeurs de la liberté. Ce singe, il est psy et me connait bien, mieux que moi. Il m'a dit qu'il me croyait schizo. Parce que j'utilisais deux noms. Tu vois le miroir et la finesse? :))) Je crois qu'il a peur que je le morde. Je crois qu'il vient plus jamais chez moi. C'est le singe par trois : je vois rien, j'entends rien, mais qu'est-ce que je peux dire comme conneries :))) Ce qui revient à ne rien dire. C'est vrai que ça fait du bien de temps en temps. J'aurai surement mieux à faire que balancer des pommes.
Lui-même aura tout oublié demain. Il sait déjà même plus ce qu'il a dit. Il est juste content de s'être fait mousser.
Tant pis pour l'autre, c'est accessoire. Entre adultes, on se comprend bien.
D'ailleurs, chez moi, il a effacé tous ses coms, et chez lui tous les miens. Ca doit être son côté rebelle. Suffit des fois d'un petit éclairage pour tout crâmer. Il me fait tout le temps rire, partout où il va. Je l'aime beaucoup.

Quand le coeur y est.
M'enfin, tu connais la musique.
Bisou :)

Demain, je me recoifferai, sLv, parce que je le beau bien :)))
Je me ferai peut-être même un look typo goupil,
y parait que c'est tendance.
Pour changer :)))

Quand c'est la guerre...

Tu perds.
Forcément.
Et moi avec.

Qu'est-ce que tu veux

Moi, c'est en jaune, en haut à droite

Je suis mes mots

Tu sais quoi ?



Que sais-tu de mes états ?
Quand je pars pour des voyages
Où tu te serais déjà arrachée les veines
Parce que tu ne crois
Ni en toi
Ni au Temps

22.9.06

Processus stochastiques



Pomme en formation.

Il est difficile de filmer un être de nuit puisque l'éclairage apporté modifie le comportement que l'on veut observer.
Faire de l'ethnologie, je suppose que c'est un peu pareil. Le bagage culturel...
La Présence, là encore...

Mon ignorance profonde
s'éclaire bruyamment aux formes de tes dires.

Rejoindre le vide en moi.

J'ai déjà parcouru,
beaucoup de tes chemins.
Tu m'en offres mille autres.

J'y déposai
Comme un grain de sel
Un ~ luisant dans la nuit
Phosphoressant ta main
Au creux de ton coeur


Si la dissolution des œillères de plomb n'est qu'un rêve,
Que tu cajoles pour toi sans y penser,
Il ne m'intéresse pas.

Ne t'inquiète pas pour moi.

J'ai juste besoin de croire en toi.

Le temps de ton pas.

Plouf !



J'ai passé mille images au possible de tes yeux
Dans une géométrie des lieux et des sentiers
Dansant le Temps et l'Espace d'un partage
S'agrandit le point où tu te reconnaitras

Ce point d'élan que tu offriras au vent

Je peux mourir
J'aurais pu mourir
A chacune d'elles

Je n'ai fait qu'un pas
Le vois-tu vaciller ?
Le crois-tu sans direction ?
Le vois-tu errer en des flaques de boues dont il ne sortirait pas
eNTRAINANT AVEC LUI DES ËTRES DANS L4ERREUR D4EUX MËME ?
Pour qui tu me prends ?
Regarde plutôt ce qui se passe lorsque tu m'épouses en ton oubli
Ou quand tu me rejettes en quelque cage aux barreaux de ton Or

Ma cène est bien plus ample,
Que tes errements psycho-rigides.
Et tes couleuvres, je leurs brosse les dents, si je veux :)))
Quand je veux




Cette cène
Je ne saurai y être
Plus grand que toi

Les connaissances dont tu as rempli ton être
Tu en as suivi les courbes de tes nécessités
Prenant notes autour d'un besoin profond
Eclairant ce monde de ce qui ne saurait être vain

Quelles sont donc ces pierres où tu dors
Te faisant belle comme une image

Le Temps l'emportera, merci à Lui,
Comme toutes les autres
Te remplissant d'un vide
Où peut-être enfin
Ton Amour en transparence
En Don pour toute vie, même la mienne,
Tu sauras aimer sans leurre

~

M'en vais te l'exploser moi !
Ton veau d'or !
Ton bison cond'Or° !
:)))
Il en chante déjà dis mille poussières d'ange

Prends donc un poil de ton temps
Pour en caresser ce limon
Déposé à tes pieds
Hugh !
~y!
:)
.

Amour personnifié

L'Amour n'abandonne jamais,
n'a jamais abandonné qui que ce soit.
Sentiment d'abandon, disparition, souffrance, à la place de ce qui hier encore illuminait toutes choses, tout vient de toi, peut-être de ta confiance perdue.
Si bruler est un état qu'il te fut permis de connaitre, tu peux dire merci si tu veux. Ne soit donc pas ingrat de ce chemin en mémoire où tu nouais tant de fils.
Ne plus sentir Sa présence alors qu'elle te portait, te levait, te dépassait, n'est pas un signe forcement négatif.
Approcher Sa Face trop vite te consumerait.
Pourquoi voudrait-Il ta perte ?
Comment avances-tu vers Lui ?
Avec quoi ?

Le Temps donne toutes les réponses.

De qui, de quoi doutes-tu ?
Apprendre encore ?
A aimer comme tu ne le fais pas encore.
Comme tu ne le rayonnes pas.
Ses chemins sont innombrables.
Tu as le choix. Tu es libre.
sLv




Sais-tu que mon feu est très petit ?
On dirait un pixel dans une image vide haute définition
Je sais y zoomer mille fois
Je dis ça parce que je le beau bien :)))

Les vôtres si souvent insatiables
A bruler toute Paix

Je sais bien que ce n'est pas moi que tu aimes
Quand tu te leurres à me le dire
Je suis un esprit ici
Pas un corps
Même paraventé de mille images
Que connais-tu de moi ?

Que sais-tu de l'Autre ?

Rien, tu vois bien.
Ha ! si tu pouvais être un peu lucide,
au lieu de croire n'importe quoi.
N'importe qui.
Sauf toi

~y !
:)
.

Hugh aussi ! :)))

21.9.06

Papy gros



Je viens de survoler ton texte.
Ca m'a bloqué un temps de le lire.
C'est bien. Tu écris bien.
On sent bien la culture à l'étalage, en jolie ponctuation juste comme il faut, un peu mais pas trop. Nous apprenons donc que tu sais des choses et aimes le faire savoir. L'aboutissement de ta vie ne doit certes pas être ignoré du commun des mortels.
Tu es de ceux qui mangent de l'avion avec désinvolture. C'est bien. Tu as su trouver les moyens de participer à cette image d'homme libre du XXI ème siècle, dont tu ne doutes pas, comme moi, qu'elle est inscrite au Panthéon des Dieux et de l'histoire.
Qu'importe ce qu'elle signifie en terme de pollution, de dégâts pour la planète, de pillage des autres populations, ces richesses venues d'ailleurs et dont tu ne t'interroges pas et que si tu le fais, ce n'est jamais ta faute. Ton impuissance soudainement élevée en vertu. Tu as mérité ton dû pour mille raisons et, tel un chien hargneux baveux, jamais tu ne laisseras quiconque entamer ton os.
Tu es né à un endroit et tu vis ailleurs ? C'est bien. Ta conscience d'une double culture te permet l'angle d'un miroir et une certaine lucidité. Elle te permet surtout de te mettre au-dessus de chacune avec arrogance, c'est certain, même si tu lèches un peu quand tu peux, pour te faire des amis. Tu écris si bien et pourtant, tu ne te vois pas.
Et que fait-tu de tout cela ?
Tu me racontes tes petites vicissitudes de p'tit branleur qui va jusqu'à prendre Dieu en témoin de sa misère parce que son avion a deux heures de retard.
Tu es une odieuse insulte à toi tout seul.

Tu fais perdre mon temps et celui de mes amis,
alors, stp, la prochaine fois, essaye d'ajouter à chaque titre :

"A l'usage des morts et de ceux qui n'attendent plus rien de la vie"

Tu sais quoi ?
Je te merde gros con


Je viens pas le dire chez toi parce que j'ai déjà une collection de bocaux suffisamment navrante pour mon moral.
(Les bocaux, sont des blogs où je suis "personna non gratta" pour les pinpins castrateurs de ton espèce et qui n'aiment que leurs "propres" bits. De la caste des intouchables. Ne vois-tu pas que le monde doit changer, et ton salon de musique avec ? Bouge toi donc un peu le lustre.
Quand tu crois que c'est la guerre, je perds. Forcément.)

Sans titre




Jeu de saison



C'est qui le marron de la coque ?


Ca existe aussi avec 3 coques et un marron.
C'est pas pareil.

20.9.06

Faim de conscience



Ils morcelèrent la terre pour mieux la dévorer
Ils se donnèrent des permissions d'expansions morbides
Chacun en d'hypothétiques limites éphémères
Pouvait à sa guise exterminer un peuple
Le gaver aux images du pouvoir choisi
Remplir son sol de poisons pour mille générations
Son air d'aiguilles aux interactions inimaginables
Ils firent de la terre un objet de manipulation
Dont ils se soucièrent comme d'un furoncle
Pour des desseins personnels et sans lendemain.
La nuit elle-même, pourvue de pointes mortelles
Qui repoussaient à chacun de mes coups
Pleurait la fermeture des issues

Dans l'infini d'un univers devenu brut,
Doucement s'éteignait la danse de l'homme.


Echec...

Mon ongle d'Amérique



Douce allée aux cent ans
Je glissai en une lettre étirée
Mille notes de lumières
A teinter le réveil de ton corps

A chaque seconde de ta peau
Je soulevai l'improbable direction
D'un voyage aux senteurs de pommes
Ton jardin aux textes en soleil
Où certes ma langue
Ne serait pas perdue

18.9.06

Pascal en file Indienne & the melting pot



"Les preuves ne convainquent que l'esprit. La coutume fait nos preuves les plus fortes et les plus crues; elle incline l'automate, qui entraîne l'esprit sans qu'il y pense.

On ne s'imagine Platon et Aristote qu'avec de grandes robes de pédants. C'étaient des gens honnêtes et, comme les autres, riant avec leurs amis; et, quand ils se sont divertis à faire leurs Lois et leur Politique, ils l'ont fait en se jouant.

Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas: si vous gagnez, vous gagnez tout; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu'il est, sans hésiter.

Qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout.

Quelle vanité que la peinture, qui attire l'admiration par la ressemblance des choses dont on admire point les originaux!

Se moquer de la philosophie, c'est vraiment philosopher."


Pourquoi voulaient-ils, que je prenne avec eux le chemin des guerres et des folies ?
Ils firent des merveilles au monde.
Ils firent des horreurs sans nom.
N'est-il pas là ce moment de dire
Il y a des aboutissements humains dont nous ne voulons plus

Il n'est pas forcement utile de trouver les mots pour décrire l'indicible couteau qui fouille et refouille la plaie jusqu'à s'y perdre de pénétration en pénétrations et remplir des trains d'abattoirs, en Afganistan ou ailleurs. T'as compris quelque chose de là-bas, toi? Moi, je vois le résultat de leurs belles paroles que c'est toujours la faute de l'autre. Indiscutablement.
Payer l'armée, ce n'est plus vraiment le pays, ce n'est plus vraiment nos enfants qui partent tuer les ennemis de leurs enfants. Sont payés pour. Par qui? Peu importe, c'est compliqué, alors tu laisses ça à ceux qui ont des intérêts bien compris et savent les défendre.
Pis ne t'inquiète pas, on n'est pas en guerre parce que peu de soldats avec du bon matos, c'est déjà une bonne armée. Et pis ne t'inquiète pas, on n'est pas en guerre parce que c'est pas dit comme ça aux informations du qu'on sait tout et du qu'en quand dira-t-on. Je suis sans doute un peu simple, mais si je me mets à la place de l'autre, je dirais que je vois en face de moi des mercenaires sans âme qui en ont rien à foutre de ce que je pourrais dire pour qu'ils arrêtent leurs conneries où mes familles et mes enfants meurent et que je ne saurai jamais pourquoi.
Même si j'y trouvais un nom.
Pourquoi pensez-vous que l'intelligence fournira la paix, puisque vous n'arrivez même pas à l'éduquer chez vous ?
A en chasser toute colère.
Vos réponses sont toujours des destructions, des voiles, des caches misère, des censures, des petits meurtres journaliers. Vous en prenez un
un peu au hasard, le rendez chef et responsable, en oubliant qu'il est comme vous, qu'il est né chez vous, de votre culture, de vos us et coutumes.
Si vous ne changer pas votre génération, si vous ne changez pas vous,
qui le fera ?

Après vous le déluge, oui, je sais...

Zappons, petit patapon.

Des choses étaient dites, pleines de bon sens, personne ne les écoutait.

Ils en avaient remplis des bibliothèques, leur soit-disant trésor, je suis d'accord. Cette fleur entrainait aussi l'homme à sa perte, en creusait une cage aux boyaux infernaux, ne le laissait plus en Paix. Ils vivaient comme sous terre et dans l'obscurité. Il aurait fallu en sortir, ils en étaient tous simplement incapables. Ils étaient dedans et ne le voyait pas. C'était leurs sols, leurs ciels, leurs horizons.

Ils étaient incapable d'en tenir l'essence d'une seule issue. Même pas une! En inventaient d'autres sans substance. Juste pour pouvoir en parler, comme tite pipelette, dont j'attendais les pommes. Les fruits de sa vie. Son présent au monde. Oui, c'est influence de Pascal, encore.
Parce que c'est une reine les kékés.
Comment pourriez-vous la voir ?
Il faut être roi pour cela. Ou reine.
Et pis tu veux déjà pas voir qui est à côté de toi. Alors, je te laisse imaginer ta situation, et ce qu'elle te donne pour plaire à ton miroir.
Vous êtes pourtant si nombreuses, si nombreux, à deux doigts de naître.
Quels poids vous pèsent encore ?
Quels liens trop gros vous absorbent encore ?



Avec moi, elle aurait très peu sur les épaules, si d'aventure lui venait l'envie de me porter. C'est cool. L'inverse est vrai. C'est cool aussi. Pour jouer à Don Quichotte avec le lustre du salon. Par exemple.
Ben~y!
:)))



J'ai forcé le contraste informatique sur cette peau de peinture sur papier snark.
Heuuu, je voulais dire kraft. Emballer, c'est peser.
Si tu le plies comme il faut, ça te fait un palapalala typo tougros.
Il te reste plus qu'à savoir où le ranger :)))
Autant te dire que je préfère les laisser à plat. Quand il y en a trop, hop, ça fait un rouleau de saison ou de petite semaine, et je me retrouve avec le même problème : je vais mettre ça où?
Parce qu'une peinture autant réduite, ça ne parle pas toujours très bien dans la nuance.
Ca met du bleu à la place du vert. Ca met du citron à la place du jaune tout doux comme une vapeur de soleil et qui, lentement, prendrait son vol.
Pour tout dire bref, c'est autre chose :)))




C'est joli, hein ?

C'est un palapalala typo derviche typo matamore typo pas mâle
Parce que je le beau bien si je veux.

Si tu crois que je connais pas ces peaux d'oranges et ce qu'elles flattent très souvent, dans un terrorisme sans pitié et profond.
Si tu crois que je sais pas la population de branques que ça m'attire de faire des trucs comme ça. Toujours pareils.
Pour quelques uns qui en valaient tous les détours,
c'est vrai aussi :)

Tu sais que si tu te fermes la bouche en te pinçant le nez, que tu souffles très fort, tu peux te faire pousser un pompon rouge sur le haut de crâne ? Rigole pas tant que ça. Je vois bien que le tien est déjà sérieusement développé pour ton âge :)))
Tu veux un poncho de la vie là ?
Un petit chapeau typo le "bocal Toutanestétik" ? Un dob à deux trous pour y passer les deux points de fuite de tes oreilles d'âne? Je dis ça, mais je suis souvent dégagé en seulement un mouvement dans les sites là. C'est trop facile. Même pas drôle.
C'est vite plus vu. Restons humble. Chassons la misère et ses misérables gratte-vernis.
Une sorte de perfection de l'instant en bloc de sel à grosses couilles coiffé d'une auréole angélique et puante.
Faux sur tout que rien ne bouge. En plus, ça paye.
" Vanitas ! Quelle forme as-tu que je te tripotâââille !? "
Dire qu'il n'y avait là qu'un neurone est un pas qui certes, est très tentationnant :)))
Un petit bisou?
Pas là, pas là, là
:)
Hugh !
~y!
.

Ps C'est juste pour demander à tous ceux qui sont beaucoup en ce moment, qui m'habillent du costume du fou, de celui qu'on ne comprend pas et patati pour ne plus me voir et dans l'éloquence du silence et du rejet, pourquoi vous ne l'enfilez pas vous-même puisque vous hésitez sur votre être, doutez de votre propre vie et que vous attendez demain comme des manches en costume trois pièces.

Haaaaa! Vous l'avez déjà mis ! Ben c'est pas la peine de me le dire, tu crois que je suis aveugle en plus de tout ça ? Tu me gaves tellement, c'est trop d'honneur.

Vous entravez que puipouic à la poésie, à l'art, aux fleurs. Vous faites semblant et répétez les grilles de lecture apprises et sans le savoir. Quand vous comprenez pas ce qui est dit parce que l'auteur est mort et célèbre et que c'est donc obligatoire d'en être sous peine d'être montré du doigt par la galerie et qu'il faut donc faire un effort, vous vous accrochez à n'importe quoi, comme par exemple une poubelle de paravents où tu vas parler de ce que tu connais pas et que pour cette raison, grâce à cela, tu as beaucoup recouvert, caché, enterré, et croîâââ! ton être. Sentiments, amour, haine, malheur, grandeur de l'homme, du poète, de l'autre et de toi, toi, toi.
Tu sais faire marcher la pioche à tous les coups.
Comme un artiste répétitif et obsessionnel à la couille non descendue et frotte, frotte, frotte.

" Des flots de misères courbaient sur leurs échines des voluptés noires d'incompréhensions ravalées à l'alexandrin coquin.
Ils piaillaient entre eux des jacasseries goulues où parfois la patte sur la pierre élevait une tronche pour un "glouglou!" soudain et sanctifié par la masse et le profil.
Jamais un merci interne à l'origine de la conjonction du moindre savoir et à grands coups de voiles prétentieuses, ils disaient le verbe haut et la tête vide : je crée !
J'ai créé, je suis, regardez-Moi ! Messieurs mesdames, applaudissez! " Et tout le monde d'applaudir. Et tout le monde de se frotfrotter la pense à la baise morte du semblable où toi aussi un jour, tu pourras hisser ton bon mot, je n'en doute pas.
Ton drapeau made in Ducon.
Tu te crois sorti de la cuisse de Jupiter, flamboyant, radieux, ton écharpe de dédain flottant aux vents de ta destinée élue.
" Je suis tel Jupiter ! "
C'est la normalité de ta position de naissance, tu as la tête juste en dessous de Son cul et tu ne veux pas entendre les éclats de rire du cosmique Pétomane.

Qu'ilL me pardonne cette image sLv

A chacun le lieu et les formes de son taf :)))

Oui. Joli temps.



Je suis plié là
Et quand je suis plié, je sais pas quoi dire.
Ca m'empêche pas de parler
C'est juste que
Ca fait si longtemps
Combien de fois me suis-je pris
Le coeur dans les mailles de l'espoir
Qui me disaient "tu n'es plus seul"
Les mots suivants fauchant l'aube naissante
En mille prisons renouvelées et souveraines
D'où je sortais pour un vol plané glané au temps
Sonné moitié fracassé
C'est juste que
J'ai tout mélangé les esprits d'ici
Ils changent de lieux, d'images, de mots, de rêves
Je ne peux pas suivre leurs identités multiples
Nouées à des jeux qui m'absorberaient en entier
J'ai choisi d'aimer en large et en particulier
Au dernier temps d'eux anonyme un choix
Ceux que je ne rencontre pas en corps
Et dès lors sans mémoire fixe,
Des détails de ma danse
Qui les fait sans passé
Au réel d'ici adapté.
J'ai vu avec douleur
Des amours que j'aime, leurrés à mon miroir.
Comment chanter le mien, sans blesser du regard
Renvoyant souvent d'une main de moindre mal
Des chemins aux origines parties du monde
Qui fractionnaient l'être ici



C'est juste que
Si tu n'es pas un rêve
Ben je crois
Que je vais m'assoir cinq minutes

J'ai vu Tes mots
Ils éclairent jusqu'au ciel
Ils réchauffent mon coeur

:)

17.9.06

Tu t'en vas ?



Vas-y.
Ne t'occupe pas de moi.
J'ai tout mon temps
Tu le sais bien
Grumpf
~y !
:)
.

16.9.06

Pompon & Pinpin : "Le mystère de la plume d'Or"

Calques et zones de contact

Vous savez quoi ?
Vous me gonflez tous autant que vous êtes :)))
La dernière fois que je suis passé, je vous ais bien traité de concone il me semble. A vous trainer dans vos petites douleurs juvéniles. Petits êtres tout fragiloux, si sensibloujean's. Pssssss... Gros concone ! :))) Tu te souviens la tête que tu as fait ? Tu n'as même pas osé me répondre jusqu'au bout.
Tu sais quoi ?
Ben je recommence.

C'est normal, tu n'as pas changé. Vous aimez tellement votre douleur, votre souffrance, ma qué bella ! Chi chi et chéque es spires, t'as une tête d'omelette, bref, vous n'arrêtez pas de la regardez, de la nier dans sa taille réelle, qu'elle contamine tout ce que vous faites, recevez, et vous le voyez même pas.
Et moi, je suis pas gentil ! T'as re~sorti le bouclier ?! :)))
Hooooooo!
Tu veux que je souffle le petit bobo sur ta main ?
C'est pas de problème :)
Regarde comme je fais ça bien... Vois mes yeux couleur perçant. C'est un souffle chaud aiguisé aux plis de mes lèvres.
C'est un roulis de vie sacrée du bout de tes doigts jusqu'au virage de ton coude irradié jusqu'au coeur. Si tu as mal ailleurs, c'est souffle pareil.
Et Hop! C'est parti le bobo !
C'était rien du tout, tu vois bien.
Tu as un gros vide à la place maintenant.
Il te remplit si tu veux.
Tite plume devenue, que fais-tu?
Souris si tu sais pas, ç'est bon pain chaud.
C'est médecine de l'Ours, Medecine Bear in english, très puissante si tu la vis, si tu y crois, si tu l'acceptes :)
Elle agit quand tu l'appelles, impacte dans le temps et l'espace.
~y !
Qui était là ?
Si tu as compris intimement, prévient tonta Cop's,
les pinpins, ça se regroupe entre eux, ça s'attire :)))
Mais non ! Pas que je souffle comme ça ! C'est pas un truc magique qui peut se répéter formellement sans savoir. Je ne veux pas devenir le chef ou le gourou de tes conneries ! Une vulgaire pancarte où tu vas encore te cacher et me planter pour pas réfléchir. Tu me prends pour qui ? Regarde ce que toi tu as compris et don tu deviens capable d'aider un autre, avec ton coeur, tes mots et patati. Deux serait peut-être trop ? Mille viennent te voir ? C'est toi qui les voit. N'oublie pas le temps qu'il t'a fallut et que leur chemin n'est pas le tien. Aider n'est pas commander. C'est un va et vient où chacun apprend avec humilité. Fais-toi petit, petit, tout petit...
Tu sais rien du tout !
Dans ton vide, tu verras leurs flèches arriver. Comment te blesseraient-elles ?
Toute forme est signe et signe une intention.
Je crois que c'est plus urgent que la grippe pour certains.
La bonne santé, c'est un sacré voile pour avoir du savoir-vivre. Ceux qui souffrent vraiment ne le disent pas tant. Et s'ils le font, je crois qu'ils ont raison de le faire parce que c'est vrai et qu'ils ont appris à y vivre, maîtrisent cette marge, en connaissent la solitude de l'indicible, ne s'y complaisent pas. Mon souffle sur eux.
Hugh !

Tu sais plus quoi dire ?
Ben, pourquoi tu lèves pas un peu le pied, une titheure. Tu sais bien que si tu veux, tu peux. Que tu es forte de tes faiblesses. De ce que la vie t'a apporté. De tes plaies. De tes joies. De ce que tu as gagné, toi, pas une autre, certainement pas comme ça.
Que tu es belle.
Infiniment.
Ne me fait donc pas mentir.
Je risque de te mordre la fesse gauche :)))
Ou tu vas te prendre une pomme.
Tu sais bien que tu sais écrire, peindre, raconter les montagnes et leurs rivières d'Or. Quand le coeur y est. C'est cela qu'il faut trouver et redonner, retrouver et donner. Pas forcement des agglos, les briques et du brocolis.
Je sais bien que tu maitrises tout ça. Ne t'en prives pas.

Heuuu, j'me demande si j'ai pas un peu poussé le bouchon, pas là, pas là, là :)))
Haaaaaa, les élans d'art !
Nom d'un caribou d'choux,
Si c'est pas forcément original, solidairement, ça peut passer le Prozac ou le Red Bull, je superpose :)

39 Déconnecté



Si tu n'existes pas,
Faut-il en corps,
Que je t'invente à mon image ?

J'essayerai de ne plus rien dire,
Si tu veux,
Tu pourras être toi.

Inclinaison astrale



Amstram gramme
Pique et Pik et colégram
Tiens, c'est la fin de l'été
C'est le début...
Le début de quoi au fait?
Pour tout dire, je me demande quel été peut bien finir ici, comme une vieille loque qu'il faudrait oublier avant qu'elle ne meurt. Et trouver l'énergie de recommencer. De recommencer quoi au fait ? Ha oui, comme l'année dernière, un paysage prédestiné. Ca m'apprendra à piquer dans les mots des autres.
Les fruits sont au rendez-vous des papilles, moins il y en a, meilleurs ils sont.
Enfin, c'est ce que l'on dit.
Alors je suppose que les ours pensent à préparer leur hibernation. S'ils n'aiment pas le froid, moi non plus. Je n'en connais pas personnellement.
Je ne sais pas vraiment ce que c'est des vacances. J'en vois le sens commun. Elles ne me tronçonnent pas. Les saisons comme les années : au jour le jour.
Chacun apporte son parfum. De quoi serais-je inquiet ?
De quelques matérialités ?
Là où j'apprends de tout.
Même des feuilles au vent.
Elles me disent qui je suis.
J'ai développé un regard d'aigle.


15.9.06

Obscure



Tu dis sombre
et c'est déjà une descente
Profondeurs infernales
Là-bas gisent mille démons
Les tiens
Donne leur ton Amour
ilL te souriront
As-tu une autre source ?
Blesse en Un
ilL le seront tous
Sombre tombe
La nuit qui t'envahit
Tu lui opposes les lumières de ta raison
Sur ces fils de fuites
Construire des cathédrales
L'art de ton Roman
Ca rend bien
Si le verbe fendit le monde en deux
Ton acharnement en fit une peau de chagrin
Dans l'immensité sans limite
Tu couvris d'un pixel
La Grandeur de ton ignorance
~
La nuit arrive
En toute Majesté
Elle accueillera les graines d'aujourd'hui
Quoi d'autre, tu le sais, toi ?
Vois leurs origines
Elles sont en toi
Tu verras l'essence de l'arbre
La probabilité de ses fruits

One two tree
Mate tes mats tics
Sont esthétiques
Plastique de l'élastique et catapulte
Toc toc toc
Deux "cloupix" j'ai dis !
Haaaaaaa!
Même pas vrai!
:)))

Ceci n'est pas un schadock
Heuuuu,
tu sais où on va ?

Je ne sais pas demain
Je chante tous les jours
sLv

14.9.06

Bise répétitas



Il s'était retrouvé à la retraite. C'est souvent un peu con, la retraite, parce que tu passes ta vie à l'attendre en te disant que tu auras le temps de profiter, de faire ce que tu veux, et puis elle arrive, tient ses promesses et c'est l'enfer. Faut toujours se méfier de ce que l'on croit vouloir.
Ca arrive souvent comme les pommes.
Dans la valse des images autour de lui, il va choisir et se gonfler d'une histoire où son temps va pouvoir avancer dans l'oubli de sa torture ainsi éduquée.
Il fait ce qu'il a toujours fait, marcher avec ce qui n'est pas lui.
Plutôt que d'apprendre de ce Temps aux fascicules internes, il va voir ailleurs. C'est ainsi qu'il tomba amoureux d'un flot d'images journalier. La connivence réductrice dans laquelle il s'était installé suffisait à sa bulle que moult savoirs protégeaient bien.
Son grand rendez-vous était les infos du soir. Il ne dérogeait que difficilement à cette hostie qui le liait au monde, lui donnait du propos, du grain à moudre, le rassurait sur des convictions existentielles qu'il n'aurait au grand jamais remis en cause. Il ne voulait pas et donc ne pouvait pas les voir quand elles affleuraient une surface non référencée.
Après, c'était variable, le choix toujours un peu douloureux.
"Super, c'est bon film, miam miam !"
"Pfffff, que des conneries ce soir. Qu'est-ce que je pourrais faire"
Affreux.
Zap zap.

Puis un jour,
Il découvrit I n t e r n e t.

Allelouia tchiwawa.

Il pouvait parler et agir dans ce monde,
___________________ Son Monde.

Le film qu'il se prenait en boucle se vrilla imperceptiblement en
ruban de Möbius


Feuille de maïs, c'est pas des salades :)))

Perforations synchrones



D1, c'est la différence de distance entre l'oeil de l'observateur et deux plans de circulation de feuilles. Plus tu t'éloignes, et plus ou moins, tu peux bouger ton corps :)))
M'enfin, c'est toi qui voit...

Evidement, le fait que le orange central
paraisse plus foncé alors que c'est le même,
ce sont mes salades
Cela n'est d'aucun intérêt,
Pour simplifier :)))
Sans faire page blanche
Heuuuuu, j'voulais dire vert choux
Bisou

Ce que je vais dire est truffé d'erreurs en tous genres. Ne pas prendre des vessies pour des lanternes me semble de bon "conseil".

J'aime les chamanes. Personne ne nait chamane. Il passe sa vie et puis un jour il se lève. Il a trouvé le sens de son ici universel et il agit. C'est normal qu'il soit perçu comme quelqu'un d'un peu sacré. Qu'il puisse faire peur. C'est un pouvoir dont il se passe très bien. Ce n'est pas un besoin.
Il se promène aussi bien dans les jardins des hommes. Regardant le maïs, ses promesses, ses déceptions, ses réceptions, ses joies.
Donnant des conseils du style : "accroche donc un élastique joint par deux clous sur le haut de ta porte, tu auras l'air moins con pour envoyer ta prière aux dieux".
Brrrrr. Autant dire que personne n'aurait eut l'idée de ne pas faire ce qu'il disait.
Autant essayer de contredire une armée d'Invisibles qu'il appartiendrait d'abord de connaitre un par un pour être de leur transparence.
J'ai souvent dit que si les Esprits se présentent à toi, tu peux considérer que Dieu a choisit de se présenter ainsi à toi.
Si c'est Dieu qui se présente à toi, tu peux te dire que ce sont les Esprits qui t'ont choisi cette vision. L'Amour est toujours gagnant.
Il est ici impossible de prouver quoi que ce soit. Tu peux donc le dire dis mille fois. C'est une croyance, une religion. Une fleur d'humanité sans ennemi. Fait bien comme tu veux.

Définir un taux d'acceptable est sans intérêt. Il n'y a que la qualité des messages vus, perçus, qui importe(nt) pour la dissémination. Quels sont donc les vôtres ? Comment ? Vous dites ...? J'ai pas entendu, pas là, là.

Autant dire que je vous trouve gravement coincés. Je me sens bien dans le 5ème Monde. C'est juste un peu vide pour l'instant :)
C'est normal, comme vous ne croyez en rien, quel modèle, quel jus, quelle force avez-vous pour croire en vous ?
Alors vous prenez chez l'autre votre miroir. Ca peut être un livre. C'est généralement rapetissant parce que tu en tranches beaucoup de choses. Et tu manges beaucoup de linéaire pour compenser. C'est ballot.
"Qui peut le plus peut le moins"

Tiens ? On est le 14 aujourd'hui.

13.9.06

Présentation FX 727 B



Je fais comme toi
C'est très complexe
C'est très simple
Je n'ai pas de corps
Tu n'auras jamais ici
L'instantané de mon oeil
Répondant à la courbe de ta main
Dans le soulignement d'un sourire

Tu n'as pas de corps
Fenêtre éclairée d'une connaissance partielle
Que je retrouve par ci par là
Dans ces valses d'esprits aux mêmes origines
Tu te crois particulière?
Tu l'es mais ne le sais pas
Tes voiles s'accrochent à des mats de hasard
Tu y dessines à l'encre humide
Les cartes de ton ciel
Laisseras-tu le vent
En diriger la gravité des goutes
Le trop plein de tes rêves ?

12.9.06

Toujours là




Je vois tes yeux
Je vois mes yeux
Tu me racontes des histoires
Je devine bien les fils de ta venue
Que cherches-tu ?
Si tu ne le sais pas
Tu ne le dis pas
Tâtonne encore tes rives
Parcourant les images jouxtant mon être
Ces ressemblances induites par d'autres
Ces formes subtiles de ta douceur enfouie
Elles glissent en toi d'arabesques larges
Parmi les chaleurs d'un coeur grandit d'infini
L'Amour ne cherche-t-il pas à vibrer chacun de tes pas ?

Rien à garder de ce chemin là
Tu verras bien
Mécanique céleste où ce qui se donne
Revient sans fin en manne prodigieuse

En attendre quelque retour
C'est condamner les portes de sa source d'origine
C'est poser une faribole de plomb
Dessin d'une cage
Un voile d'espérance que la mort chahute déjà

C'est te perdre

Et moi avec

Je m'en remettrai :)))
Je m'en remets toujours
sLv

C'est vouloir un demain
Auquel tu ne fais plus confiance
Qui pourtant ne t'appartiendra jamais

Mouais
Je sais,
c'est un peu simple pour être acceptable
Tel quel
Au jeu des branlettes neuronales

Vous me reprendrez bien une tite pomme?

http://www.ipernity.com/doc/sculpix/4213294

Qui je suis ?

Ma photo
D'où je viens..... D'où je tiens :))) http://wizzz.telerama.fr/pixels Si vous imprimez d'ici, merci de penser aux sdfs, ces hommes au ciel pour tout toit. On va dire que c'est pour eux que je fais tout ça :))) En rang par trois je vous prie, bien gentillement. J'veux voir qu'une tête :))) Pas là, pas là, là